23-03-2004, 14:22
Il escroquait Frei : prison avec sursis pour un ex-employé du Stade Rennais
RENNES, 22 mars (AFP) - Un ancien employé du Stade Rennais de football (L1) a été condamné lundi par le tribunal correctionnel de Rennes à dix mois d'emprisonnement avec sursis pour avoir escroqué l'international suisse Alexander Frei, auteur d'un quadruplé dimanche en championnat contre Marseille.
Le jeune homme, âgé de 25 ans, avait subtilisé une vingtaine de fois, entre septembre et janvier dernier, la carte bancaire de l'attaquant dans les vestiaires pendant les entraînements. L'employé a effectué ainsi plusieurs retraits à des distributeurs automatiques de billets, d'un montant total de 14. 420 euros.
Le joueur ne s'en est pas aperçu tout de suite. Le jeune homme, qui s'occupait d'intendance au Stade Rennais, avait sympathisé avec le footballeur, ce qui lui avait permis de connaître le code confidentiel de sa carte bancaire.
A l'audience, le prévenu, en larmes, a invoqué un besoin d'argent pour expliquer son geste. Le club l'avait licencié pour faute grave après la révélation des faits. Le tribunal l'a également condamné à rembourser l'intégralité des sommes volées à son propriétaire.
Il serait pas un peu neuneu, notre copain Alexander ?
RENNES, 22 mars (AFP) - Un ancien employé du Stade Rennais de football (L1) a été condamné lundi par le tribunal correctionnel de Rennes à dix mois d'emprisonnement avec sursis pour avoir escroqué l'international suisse Alexander Frei, auteur d'un quadruplé dimanche en championnat contre Marseille.
Le jeune homme, âgé de 25 ans, avait subtilisé une vingtaine de fois, entre septembre et janvier dernier, la carte bancaire de l'attaquant dans les vestiaires pendant les entraînements. L'employé a effectué ainsi plusieurs retraits à des distributeurs automatiques de billets, d'un montant total de 14. 420 euros.
Le joueur ne s'en est pas aperçu tout de suite. Le jeune homme, qui s'occupait d'intendance au Stade Rennais, avait sympathisé avec le footballeur, ce qui lui avait permis de connaître le code confidentiel de sa carte bancaire.
A l'audience, le prévenu, en larmes, a invoqué un besoin d'argent pour expliquer son geste. Le club l'avait licencié pour faute grave après la révélation des faits. Le tribunal l'a également condamné à rembourser l'intégralité des sommes volées à son propriétaire.
Il serait pas un peu neuneu, notre copain Alexander ?
