16-07-2009, 19:52
Hello,
Cher opiomanes, je me présente, Cocadust, supporter de l'OM depuis quelques années déjà, et fier de pouvoir venir poser ma pierre à l'édifice déjà bien remplis de ce forum.
Pour me présenter en lieu et place d'un grand discours, je pense qu'il est préférable (surtout pour vous, m'écouter c'est dur, me lire encore plus ) de plutôt raconter une journée d'avant match de l'OM, si mes derniers souvenirs sont bon...
Samedi 25 Octobre 2003
08h00
Le regard vitreux, légèrement grisé par la fatigue, je me lève (et je te bouscule ) en prenant le soin d'éclater mon réveil contre le mur de ma chambre. Me recouchant avec hâte, j'entends ma mère me héler à s'en dégorger la luette.
10h00
Rien à déclarer, ma mère m'a oublier mais tout honteux d'avoir tromper celle qui eut l'honneur de me mettre au monde. Tout en m'écarquillant les yeux, je fus happé par la date de mon calendrier. Ce calendrier si cher à mes yeux, qui affichait fièrement la tête de Franck Leboeuf, me faisant l'honneur de son sourire lubrique. Un calendrier qu'un ami très cher m'avait vendu, me faisant croire que j'avais affaire là à un crack. (ce cher ami repose maintenant au fond du vieux port , paix à son âme )
C'était le temps où j'étais naïf, ah!!
Mince! me dis-je... (non nous allons la refaire de façon plus spontané)
"La con de sa mère! Aujourd'hui on affronte ces manchots de Rennais"
12h00
Tout beau, tout bien préparé, j'allais bientôt sortir de chez moi lorsqu'un envie pressante se fit sentir.
14h00
Cher opiomanes, je me présente, Cocadust, supporter de l'OM depuis quelques années déjà, et fier de pouvoir venir poser ma pierre à l'édifice déjà bien remplis de ce forum.
Pour me présenter en lieu et place d'un grand discours, je pense qu'il est préférable (surtout pour vous, m'écouter c'est dur, me lire encore plus ) de plutôt raconter une journée d'avant match de l'OM, si mes derniers souvenirs sont bon...
Samedi 25 Octobre 2003
08h00
Le regard vitreux, légèrement grisé par la fatigue, je me lève (et je te bouscule ) en prenant le soin d'éclater mon réveil contre le mur de ma chambre. Me recouchant avec hâte, j'entends ma mère me héler à s'en dégorger la luette.
10h00
Rien à déclarer, ma mère m'a oublier mais tout honteux d'avoir tromper celle qui eut l'honneur de me mettre au monde. Tout en m'écarquillant les yeux, je fus happé par la date de mon calendrier. Ce calendrier si cher à mes yeux, qui affichait fièrement la tête de Franck Leboeuf, me faisant l'honneur de son sourire lubrique. Un calendrier qu'un ami très cher m'avait vendu, me faisant croire que j'avais affaire là à un crack. (ce cher ami repose maintenant au fond du vieux port , paix à son âme )
C'était le temps où j'étais naïf, ah!!
Mince! me dis-je... (non nous allons la refaire de façon plus spontané)
"La con de sa mère! Aujourd'hui on affronte ces manchots de Rennais"
12h00
Tout beau, tout bien préparé, j'allais bientôt sortir de chez moi lorsqu'un envie pressante se fit sentir.
14h00
Après avoir allégrement vider ma vessie, ayant bien pris le soin de viser correctement la lucarne j'allais bientôt sortir de chez moi.
"Mon chérie, on a fait des artichauts aujourd'hui, viens manger ça va refroidir.
-M'man, aujourd'hui je bouffe avec mes potes!
-Rien du tout, tu poses ton cul sur la chaise et tu discutes pas!"
Ayant abdiqué, après moult négociations, je me demandais ce que j'avais bien pu faire à la lune pour mériter ça...
16h00
Après avoir gerbé les artichauts de ma tendre mère pendant une heure, j'allais enfin bientôt sortir de chez moi lorsque mon père, dans un grand appel de detresse, eut besoin de moi. Il avait besoin d'un il averti pour la réparation du décodeur. lorsque ce genre d'appel, parvient à vos oreilles innocentes et toutes immaculés, vos jambes tout de go se porte au secours de la pauvre âme en peine qui dans le besoin serait pris à se pendre à grand coup de câble satellitaire.
17h00
Mon père fut vainqueur (du décodeur ) par K.O à la 5e reprise, s'égosillant de sa franche victoire. Ses amis avait le bon goût de l'appeler le Carlos Mozer de la réparation, aussi subtile dans ses initiatives. Au fil du temps il avait finit par plus ressembler à "Carlos" qu'a "Mozer".
18h00
Enfin dehors, les crampons chaussés, protège tibias oublié (c'est pour les pd!). je portais fiérement mon maillot de l'om floqué au nom de Bakayoko, qu'un ami très cher m'avais vendu tombé du camion et m'avais assuré qu'il était le meilleur attaquant que l'OM avais jamais eut (quelle belle époque ).
Il repose aussi dans un endroit propice à la méditation mais ce serait bien trop long à expliquer.
Je rejoins enfin toute ma bande, frères d'armes du foot, avec lesquels j'ai vécu toutes les guerres. De la coupe des Passons du bas contre ceux du haut, jusqu'à la franche castagne avec les ennemis héréditaire qu'était les jeunes de Palissy.
Mais, un vrai talk-show, pour le moins étrange, m'attendais.
"Je te le dis Loule! Grosse comme ça la truite, punaise! Mon vié, mon oncle il a tiré comme un trou du cul pour la remonter! Elle a tiré le bachot sur au moins 30 kilomètres!"
Mes potes, pour une seconde s'était transformer en de véritable amateur de pêche...
"Et alors ton oncle, il l'a remonté?!
-Et rien du tout il a attrapé ce con! La truite est partie avec la canne à pêche et presque la barque avec!
-elle a pas embarqué le rivage avec elle aussi non?! Mes coroñes ah! Regarde moi ce mytho!"
Après qu'il se soit diplomatiquement expliqué à grand coup de tatanes dans la bouche, le foot put reprendre son uvre.
19h30
La match fini, je du la mort dans l'âme quitter mes frères. Je rentrais chez moi, non sans mal, en boitillant fortement. La douleur des matchs un peu trop plein...
Dans le quartier, nous avions beaucoup de talents, balle aux pieds mais ils s'exprimaient souvent sans le ballon...
Lorsque mes pieds se posèrent sur le paillasson de la porte d'entrée, j'entendis le bruit caractéristique de mon père mangeant des cacahuètes, signe d'un coup d'envoi imminent.
19h50
Après la douche, je pu enfin m'assoir et profiter du spectacle. Une chose grandiose aller s'ouvrir devant mes yeux, un match de l'OM!
Des personnes que l'on appelle "journaliste" en cette admirable occasion, soulignèrent l'intérêt croissant de "l'Olympiques de Marseille" pour un jeune millieu de terrain, un dénommé Pedretti il me semble ( ). Jean Luc Arribar, dont les compétences footballistiques ne font aucun doutes (:helpsmili), lui traça un avenir radieux au sein du monde football, évoquant un futur transfert lucratif.
Il est dommage de ne plus apercevoir de tels grands pontes du football de nos jours, ceux sont-ils fait arrêter pour diffamation et calomnie? Mensonge répété à l'encontre d'une personne? Nous ne le saurons jamais.
20h00
Le match commence, les joueurs entrent enfin sur le terrain, les Vachousek, Skacel, Meité et consort ne cesse de me faire rêver.
Au bout de 20 minutes, les olympiens se réveillent enfin, Vachousek a du par contre fracasser son réveil depuis longtemps. La mère d'Habib Beye l'appele pour manger des artichauts et celui-ci remonte tout le terrain avec le ballon pour porter sa réponse. Drogba (Alias D.D), soudainement oublié par la défense Rennaise, se trouve avoir une grave envie de pisser et cours rejoindre les toilettes du Vélodrome. La défense adverse toujours vigilante, pense à un appel de loin et se met à courir derrière la panthère Ivoirienne. Pendant ce temps, Ravanelli qui était descendu des tribunes en opération furtive, s'écroule aux abords de la surface de réparation, portant le mythique maillot Ericsson.
M.Colombo (qui avait oublié son imperméable pour le coup ) ne se fit pas prendre au piège et siffla un coup franc en faveur des marseillais. Lorsqu'en changeant ses lunettes il s'aperçut qu'il s'était trompé de camp. Celestini ne se fit pas prier et catapulta un missile, dont seul lui possédait le secret, (qu'il emportera surement dans la tombe d'ailleurs) sur la tête de Van Buyten. L'action dura vraisemblablement cinq secondes mais pour tout un peuple une eternité. Petr Cech eut le bon gout de s'être demandé cinq fois si il devait bientôt sortir. Van Buyten ne se fit pas prier et propulsa le boulet en pleine lucarne
A l'heure où je vous écris ces quelques lignes () je me souviens d'un match magnifique. Hemdani fut presque bon, Celestini fut au sommet de son art (il avait cadré une frappe de tout le match), d'un Vachousek, dont on se plaisait à prononcer le nom et ne parlons pas de Sychev qui sur un malentendu faillit marquer contre son camp. Que de merveilleux souvenirs j'ai pu garder
A la 76e minutes, Marlet tente une incursion dans la surface adverse et en s'emmêlant les pinceaux, il parvint à bloquer la balle sous son maillot et se fit alors passer pour un bossu. Toute la défense rennaise, connu pour sa courtoisie le laissa passer. Mais au bout de 5 mètres, ils repérèrent la supercherie. Marlet voulu frapper mais fit un centre moisi, dont il possédait seul le secret (il l'emportera dans la tombe aussi). Drogba qui revenait enfin des toilettes, car l'attente fut plus longue que prévut, respira un grand coup puis s'étira les bras. Il rentra soudainement dans la surface adverse avec aplomb. Lorsqu'un ballon se posa délicatement sur sa gueule et partis en direction des cages adverses. Cech, s'étant encore une fois demandé si il devait sortir ou pas, sortis récupérer la balle au fond de ses filets.
Drogba, peu content de s'être reçut un projectile non identifié, sortit totalement furieux du terrain.
2-0 contre Rennes, cet instant fut magique.
90e minutes, Colombo fini son cigare et siffle la fin du match. Le peuple marseillais est libéré.
Quand j'évoque ce souvenir lointain, la première idée qui me vient à l'esprit est "on avait une belle équipe de branque quand même".
Mais l'Om, c'est exactement ça, c'est une équipe de chèvres, de bras cassés, de pieds tordus mais finalement on les a aimés nos chèvres
Bien sur, j'ai un tout petit peu forcé le trait et l'OM connu de grands joueurs mais je voulais appuyer qu'à l'Om la ferveur est inexplicable. L'OM est un théâtre où se vit l'épique, le tragédie, le drame et l'héroïsme. Non point besoin de sept championnat consécutif pour aimer l'OM! L'OM possède des qualités mais aussi des défauts et c'est pour cela qu'on l'aime ce club!
Par contre, si cette année on pouvait gagner un tout petit truc, ça ne serait surement pas du luxe
Un supporter comblé
"Mon chérie, on a fait des artichauts aujourd'hui, viens manger ça va refroidir.
-M'man, aujourd'hui je bouffe avec mes potes!
-Rien du tout, tu poses ton cul sur la chaise et tu discutes pas!"
Ayant abdiqué, après moult négociations, je me demandais ce que j'avais bien pu faire à la lune pour mériter ça...
16h00
Après avoir gerbé les artichauts de ma tendre mère pendant une heure, j'allais enfin bientôt sortir de chez moi lorsque mon père, dans un grand appel de detresse, eut besoin de moi. Il avait besoin d'un il averti pour la réparation du décodeur. lorsque ce genre d'appel, parvient à vos oreilles innocentes et toutes immaculés, vos jambes tout de go se porte au secours de la pauvre âme en peine qui dans le besoin serait pris à se pendre à grand coup de câble satellitaire.
17h00
Mon père fut vainqueur (du décodeur ) par K.O à la 5e reprise, s'égosillant de sa franche victoire. Ses amis avait le bon goût de l'appeler le Carlos Mozer de la réparation, aussi subtile dans ses initiatives. Au fil du temps il avait finit par plus ressembler à "Carlos" qu'a "Mozer".
18h00
Enfin dehors, les crampons chaussés, protège tibias oublié (c'est pour les pd!). je portais fiérement mon maillot de l'om floqué au nom de Bakayoko, qu'un ami très cher m'avais vendu tombé du camion et m'avais assuré qu'il était le meilleur attaquant que l'OM avais jamais eut (quelle belle époque ).
Il repose aussi dans un endroit propice à la méditation mais ce serait bien trop long à expliquer.
Je rejoins enfin toute ma bande, frères d'armes du foot, avec lesquels j'ai vécu toutes les guerres. De la coupe des Passons du bas contre ceux du haut, jusqu'à la franche castagne avec les ennemis héréditaire qu'était les jeunes de Palissy.
Mais, un vrai talk-show, pour le moins étrange, m'attendais.
"Je te le dis Loule! Grosse comme ça la truite, punaise! Mon vié, mon oncle il a tiré comme un trou du cul pour la remonter! Elle a tiré le bachot sur au moins 30 kilomètres!"
Mes potes, pour une seconde s'était transformer en de véritable amateur de pêche...
"Et alors ton oncle, il l'a remonté?!
-Et rien du tout il a attrapé ce con! La truite est partie avec la canne à pêche et presque la barque avec!
-elle a pas embarqué le rivage avec elle aussi non?! Mes coroñes ah! Regarde moi ce mytho!"
Après qu'il se soit diplomatiquement expliqué à grand coup de tatanes dans la bouche, le foot put reprendre son uvre.
19h30
La match fini, je du la mort dans l'âme quitter mes frères. Je rentrais chez moi, non sans mal, en boitillant fortement. La douleur des matchs un peu trop plein...
Dans le quartier, nous avions beaucoup de talents, balle aux pieds mais ils s'exprimaient souvent sans le ballon...
Lorsque mes pieds se posèrent sur le paillasson de la porte d'entrée, j'entendis le bruit caractéristique de mon père mangeant des cacahuètes, signe d'un coup d'envoi imminent.
19h50
Après la douche, je pu enfin m'assoir et profiter du spectacle. Une chose grandiose aller s'ouvrir devant mes yeux, un match de l'OM!
Des personnes que l'on appelle "journaliste" en cette admirable occasion, soulignèrent l'intérêt croissant de "l'Olympiques de Marseille" pour un jeune millieu de terrain, un dénommé Pedretti il me semble ( ). Jean Luc Arribar, dont les compétences footballistiques ne font aucun doutes (:helpsmili), lui traça un avenir radieux au sein du monde football, évoquant un futur transfert lucratif.
Il est dommage de ne plus apercevoir de tels grands pontes du football de nos jours, ceux sont-ils fait arrêter pour diffamation et calomnie? Mensonge répété à l'encontre d'une personne? Nous ne le saurons jamais.
20h00
Le match commence, les joueurs entrent enfin sur le terrain, les Vachousek, Skacel, Meité et consort ne cesse de me faire rêver.
Au bout de 20 minutes, les olympiens se réveillent enfin, Vachousek a du par contre fracasser son réveil depuis longtemps. La mère d'Habib Beye l'appele pour manger des artichauts et celui-ci remonte tout le terrain avec le ballon pour porter sa réponse. Drogba (Alias D.D), soudainement oublié par la défense Rennaise, se trouve avoir une grave envie de pisser et cours rejoindre les toilettes du Vélodrome. La défense adverse toujours vigilante, pense à un appel de loin et se met à courir derrière la panthère Ivoirienne. Pendant ce temps, Ravanelli qui était descendu des tribunes en opération furtive, s'écroule aux abords de la surface de réparation, portant le mythique maillot Ericsson.
M.Colombo (qui avait oublié son imperméable pour le coup ) ne se fit pas prendre au piège et siffla un coup franc en faveur des marseillais. Lorsqu'en changeant ses lunettes il s'aperçut qu'il s'était trompé de camp. Celestini ne se fit pas prier et catapulta un missile, dont seul lui possédait le secret, (qu'il emportera surement dans la tombe d'ailleurs) sur la tête de Van Buyten. L'action dura vraisemblablement cinq secondes mais pour tout un peuple une eternité. Petr Cech eut le bon gout de s'être demandé cinq fois si il devait bientôt sortir. Van Buyten ne se fit pas prier et propulsa le boulet en pleine lucarne
A l'heure où je vous écris ces quelques lignes () je me souviens d'un match magnifique. Hemdani fut presque bon, Celestini fut au sommet de son art (il avait cadré une frappe de tout le match), d'un Vachousek, dont on se plaisait à prononcer le nom et ne parlons pas de Sychev qui sur un malentendu faillit marquer contre son camp. Que de merveilleux souvenirs j'ai pu garder
A la 76e minutes, Marlet tente une incursion dans la surface adverse et en s'emmêlant les pinceaux, il parvint à bloquer la balle sous son maillot et se fit alors passer pour un bossu. Toute la défense rennaise, connu pour sa courtoisie le laissa passer. Mais au bout de 5 mètres, ils repérèrent la supercherie. Marlet voulu frapper mais fit un centre moisi, dont il possédait seul le secret (il l'emportera dans la tombe aussi). Drogba qui revenait enfin des toilettes, car l'attente fut plus longue que prévut, respira un grand coup puis s'étira les bras. Il rentra soudainement dans la surface adverse avec aplomb. Lorsqu'un ballon se posa délicatement sur sa gueule et partis en direction des cages adverses. Cech, s'étant encore une fois demandé si il devait sortir ou pas, sortis récupérer la balle au fond de ses filets.
Drogba, peu content de s'être reçut un projectile non identifié, sortit totalement furieux du terrain.
2-0 contre Rennes, cet instant fut magique.
90e minutes, Colombo fini son cigare et siffle la fin du match. Le peuple marseillais est libéré.
Quand j'évoque ce souvenir lointain, la première idée qui me vient à l'esprit est "on avait une belle équipe de branque quand même".
Mais l'Om, c'est exactement ça, c'est une équipe de chèvres, de bras cassés, de pieds tordus mais finalement on les a aimés nos chèvres
Bien sur, j'ai un tout petit peu forcé le trait et l'OM connu de grands joueurs mais je voulais appuyer qu'à l'Om la ferveur est inexplicable. L'OM est un théâtre où se vit l'épique, le tragédie, le drame et l'héroïsme. Non point besoin de sept championnat consécutif pour aimer l'OM! L'OM possède des qualités mais aussi des défauts et c'est pour cela qu'on l'aime ce club!
Par contre, si cette année on pouvait gagner un tout petit truc, ça ne serait surement pas du luxe
Un supporter comblé