24-05-2008, 22:06
J'ai également l'intégrale d'Herzog. Mon film préféré est bien évidement "Aguirre, la colère de Dieu". Quel film ! Un Klaus Kinski complètement hallucinant, provoquant Dieu lui même, sur son radeau à la dérive. Il fait partit de mes films préférés.
"Fitzcarraldo" c'est un petit peu la même thématique, un Herzog mégalomane, un Kinski totalement hallucinant et un opéra implanté en pleine foret amazonienne. J'aime bien "Woyzeck" et "Cœurs de verre" également.
Pour le mariage de Maria Braun, il faudra donc que je me le procure. Fassbinder, c'est quand même le père du "Nouveau Cinéma Allemand", la génération dorée du Manifeste d'Oberhausen qui a enterré le "Cinéma de Papa". Il fallait oser passer après les Lang, Murnau, Wiene.
Wenders j'adore également. Tous les films que j'ai vu de lui, m'ont bluffé. "Les ailes du désir", le sublimissime "Paris Texas", "L'ami américain" que j'ai vu récemment. Il y a toujours cette thématique de la recherche d'identité, un classique dans cette Allemagne des années 80 en pleine reconstruction. Il y a une phrase de Dennis Hopper d'ailleurs dans ce film qui résume assez bien la chose : "Je sais de moins en moins qui je suis et de moins en moins qui sont les autres..." Plus récemment "Don't come knocking", au niveau de l'esthétique, c'est hallucinant ! La musique, les langueurs, les paysages texans. Je pourrais en parler durant des heures. D'ailleurs en parlant de Wenders, c'est aujourd'hui qu'était présenté son film à Cannes.
"Fitzcarraldo" c'est un petit peu la même thématique, un Herzog mégalomane, un Kinski totalement hallucinant et un opéra implanté en pleine foret amazonienne. J'aime bien "Woyzeck" et "Cœurs de verre" également.
Pour le mariage de Maria Braun, il faudra donc que je me le procure. Fassbinder, c'est quand même le père du "Nouveau Cinéma Allemand", la génération dorée du Manifeste d'Oberhausen qui a enterré le "Cinéma de Papa". Il fallait oser passer après les Lang, Murnau, Wiene.
Wenders j'adore également. Tous les films que j'ai vu de lui, m'ont bluffé. "Les ailes du désir", le sublimissime "Paris Texas", "L'ami américain" que j'ai vu récemment. Il y a toujours cette thématique de la recherche d'identité, un classique dans cette Allemagne des années 80 en pleine reconstruction. Il y a une phrase de Dennis Hopper d'ailleurs dans ce film qui résume assez bien la chose : "Je sais de moins en moins qui je suis et de moins en moins qui sont les autres..." Plus récemment "Don't come knocking", au niveau de l'esthétique, c'est hallucinant ! La musique, les langueurs, les paysages texans. Je pourrais en parler durant des heures. D'ailleurs en parlant de Wenders, c'est aujourd'hui qu'était présenté son film à Cannes.