13-04-2007, 18:41
Quinze rencontres de Serie A lors de la saison 2004/2005 auraient été faussées en plus des vingt-quatre matches déjà soupçonnés d'irrégularité, selon le parquet de Naples. Luciano Moggi serait une nouvelle fois impliqué. Parmi les rencontres suspectées, le Juve-AC Milan (0-0) du 18 décembre 2004. Moggi, Paolo Bertini, l'arbitre de ce choc, et Mariano Fabiani l'ancien directeur sportif de Messine, désormais impliqué dans l'affaire pour la première fois, sont accusés d'avoir commis «des actes frauduleux, dont la finalité était d'influencer le score de cette rencontre».
Vingt-cinq arbitres et juges de touche, dont dix-huit sont toujours en fonction cette saison, seraient également visés par cette enquête qui concerne au total quarante-huit personnes. En conséquence, l'Association italienne des arbitres (AIA) a décidé jeudi de remplacer les deux arbitres et deux juges de touche qui auraient dû officier ce week-end en 2e division.
Par ailleurs, face à ces nouvelles révélations, l'AC Milan pourrait demander un nouveau procès sportif afin de récupérer le titre 2005 (non assigné) et celui de 2006 (attribué à l'Inter). L'été dernier, suite à cette affaire des matches arrangés, la Juventus Turin avait été reléguée en 2e division, avec 9 points de pénalité, tandis que la Fiorentina, la Reggina, l'AC Milan et la Lazio Rome avaient pu rester dans l'élite, avec respectivement 15, 11, 8 et 3 points de pénalité.
lequipe.fr
Vingt-cinq arbitres et juges de touche, dont dix-huit sont toujours en fonction cette saison, seraient également visés par cette enquête qui concerne au total quarante-huit personnes. En conséquence, l'Association italienne des arbitres (AIA) a décidé jeudi de remplacer les deux arbitres et deux juges de touche qui auraient dû officier ce week-end en 2e division.
Par ailleurs, face à ces nouvelles révélations, l'AC Milan pourrait demander un nouveau procès sportif afin de récupérer le titre 2005 (non assigné) et celui de 2006 (attribué à l'Inter). L'été dernier, suite à cette affaire des matches arrangés, la Juventus Turin avait été reléguée en 2e division, avec 9 points de pénalité, tandis que la Fiorentina, la Reggina, l'AC Milan et la Lazio Rome avaient pu rester dans l'élite, avec respectivement 15, 11, 8 et 3 points de pénalité.
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