22-08-2006, 13:26
Abel Braga évoque son passage à l'OM.
Entraineur éphémère de l'OM Abel Braga s'est rappelé au bon souvenir de la France en remportant en Amérique du Sud la célèbre Copa Libertadores avec son club l'Internacional Porto Alegre. Cette victoire dans une compétition qui est l'équivalent de la Champions League européenne, donne de l'ambition au coach brésilien. Celui-ci vise ni plus ni moins le Mondial des Clubs au Japon et rêve de succéder au palmarès à Sao Paulo club battu en finale de la Libertadores.
Interrogé par France-Football sur son passage à l'OM, le nouveau champion d'Amsud estime être passé au mauvais moment : "L'OM est un club très attachant mais soulevé par de bruques tsunamis politiques qui balayent tout ce qui a été entrepris auparavant. Moi je suis tombé là-bas au mauvais moment. Robert-Louis Dreyfus le président était alors souffrant, et le club ressemblait à un panier de crabes. Ordre et contrordres se succédaient à un rythme hallucinant. Je me suis retrouvé isolé et j'ai préférer tirer ma révérence" se souvient celui qui fut aussi un joueur du PSG au début des années 80.
Brevesdefoot.com
Et dire qu'on l'a même pas remercier de nous avoir fait venir Adriano.
:jout1:
Entraineur éphémère de l'OM Abel Braga s'est rappelé au bon souvenir de la France en remportant en Amérique du Sud la célèbre Copa Libertadores avec son club l'Internacional Porto Alegre. Cette victoire dans une compétition qui est l'équivalent de la Champions League européenne, donne de l'ambition au coach brésilien. Celui-ci vise ni plus ni moins le Mondial des Clubs au Japon et rêve de succéder au palmarès à Sao Paulo club battu en finale de la Libertadores.
Interrogé par France-Football sur son passage à l'OM, le nouveau champion d'Amsud estime être passé au mauvais moment : "L'OM est un club très attachant mais soulevé par de bruques tsunamis politiques qui balayent tout ce qui a été entrepris auparavant. Moi je suis tombé là-bas au mauvais moment. Robert-Louis Dreyfus le président était alors souffrant, et le club ressemblait à un panier de crabes. Ordre et contrordres se succédaient à un rythme hallucinant. Je me suis retrouvé isolé et j'ai préférer tirer ma révérence" se souvient celui qui fut aussi un joueur du PSG au début des années 80.
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Et dire qu'on l'a même pas remercier de nous avoir fait venir Adriano.
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