19-02-2006, 14:07
Pour en finir avec Gillot il change de methode
Après son coup de gueule poussé par après la défaite (3-0) contre Udinese en Coupe de l'UEFA, Francis Gillot s'est montré moins sévères envers ses joueurs, samedi, après la raclée reçue à Rennes. «C'est une période de poisse. Je rappelerai aussi que Rennes avait encaissé beaucoup de buts en début de saison et maintenant ça va mieux pour eux. C'est différent par rapport à Udinese, même si la note est salée. Contrairement au match en UEFA, on n'a pas lâché, mais on n'a pas marqué non plus. On manque de confiance, on paye +cash+ toutes les erreurs qu'on fait, a analysé l'entraîneur lensois. L'année dernière, à la même époque, on avait juste trois points de moins, il y aura des jours meilleurs. Ce soir, il n'y a rien à reprocher aux joueurs.»
Conscients de ne pas répondre aux attentes de leurs supporters, les joueurs se sont montré moins clément envers leur prestation bretonne. «On prend encore une claque. Il faut retrouver l'état d'esprit qu'on avait à la trêve. Il faut arrêter de se jeter la faute les uns les autres. Il faut positiver. Ne plus se poser de questions. Il ne faut plus faire d'erreurs, peut-être qu'il faut plus mouiller le maillot, redoubler d'efforts, être soudés, ne pas se disperser par rapport à l'environnement, rester unis», a déclaré Daniel Cousin, unique buteur du Racing. «On doit réagir pour nos supporteurs. On doit retrouver nos vertus», a confié le défenseur Yohan Demont tandis que son coéquipier Eric Carrière a livré sa vision du match : «C'est très lourd, on avait envie de réagir, on a tout donné. Mais Rennes a su utiliser les espaces et marquer au bon moment. Quand on est dans une spirale négative, à la moindre erreur, ça fait but. On avait pourtant fait 90 minutes d'efforts, ce n'était pas comme contre Udinese.»
Après son coup de gueule poussé par après la défaite (3-0) contre Udinese en Coupe de l'UEFA, Francis Gillot s'est montré moins sévères envers ses joueurs, samedi, après la raclée reçue à Rennes. «C'est une période de poisse. Je rappelerai aussi que Rennes avait encaissé beaucoup de buts en début de saison et maintenant ça va mieux pour eux. C'est différent par rapport à Udinese, même si la note est salée. Contrairement au match en UEFA, on n'a pas lâché, mais on n'a pas marqué non plus. On manque de confiance, on paye +cash+ toutes les erreurs qu'on fait, a analysé l'entraîneur lensois. L'année dernière, à la même époque, on avait juste trois points de moins, il y aura des jours meilleurs. Ce soir, il n'y a rien à reprocher aux joueurs.»
Conscients de ne pas répondre aux attentes de leurs supporters, les joueurs se sont montré moins clément envers leur prestation bretonne. «On prend encore une claque. Il faut retrouver l'état d'esprit qu'on avait à la trêve. Il faut arrêter de se jeter la faute les uns les autres. Il faut positiver. Ne plus se poser de questions. Il ne faut plus faire d'erreurs, peut-être qu'il faut plus mouiller le maillot, redoubler d'efforts, être soudés, ne pas se disperser par rapport à l'environnement, rester unis», a déclaré Daniel Cousin, unique buteur du Racing. «On doit réagir pour nos supporteurs. On doit retrouver nos vertus», a confié le défenseur Yohan Demont tandis que son coéquipier Eric Carrière a livré sa vision du match : «C'est très lourd, on avait envie de réagir, on a tout donné. Mais Rennes a su utiliser les espaces et marquer au bon moment. Quand on est dans une spirale négative, à la moindre erreur, ça fait but. On avait pourtant fait 90 minutes d'efforts, ce n'était pas comme contre Udinese.»