20-12-2023, 11:49
(Modification du message : 20-12-2023, 11:53 par albert gilardi.)
(16-12-2023, 13:51)cobl a écrit : La coupe intercontinentale (son ancêtre) était une compétition prestigieuse que les grands clubs américains du sud et européens voulaient à tout prix emporter. Elle a donné lieu à des matchs mythiques (ex. l'aller-retour Benfica-Santos de 1962 ?) et l'OM aurait pu inscrire son nom à son palmarès, chose qui pour moi, à l'époque, représentait le graal. Donc je n'arrive pas à mépriser cette coupe du monde des clubs qui, comme tu le dis, se termine quasiment toujours avec un affrontement AmSud-Europe, donc dans la lignée de feu la coupe intercontinentale. Notez que la FIFA vient d'inventer une nouvelle formule (à partir de 2025) avec une tripotée de clubs et une sorte de championnat à la mord moi le $boub.
J'espère que City sans Haaland sera prenable et que le Fluzao va les poutrer (faudra quand même battre les égyptiens qui m'ont eu l'air assez bons hier soir).
Il y en a eu des légendaires
Milan-Estudiantes en 63 je crois (Milan gagne la C1 en 63 et 69), les argentins étant alors réputés pour être une équipe très dure (avec le père de Veron), immortalisée par la photo de Nestor Combin le visage tuméfié après avoir pris un gros coup.
Flamengo-Liverpool 81, où le club du grand Zico écrase les anglais qui en étaient déjà à leur 3ème titre de C1
Juventus-River Plate 96, décidée sur un but de Del Piero, face à une équipe argentine blindée de talents qui avaient déjà brillé ou iront briller plus tard en Europe: Sorin, Francescoli, Ortega, Salas, Gallardo...
Boca-Real 2000, avec un Riquelme au sommet de son art qui aura martyrisé Makelele.
Les 2 victoires consécutives du Sao Paulo FC en 92-93 contre le Barça de Cruyff et le Milan de Capello, avec notamment Rai et aussi le "vieux" Toninho Cerezo qui après avoir gagné un titre unique et légendaire avec la Sampdoria faisait ainsi une belle fin de carrière.
La nouvelle formule de la FIFA est une ignominie méprisante, typique de la tendance du football actuel. On ne fait pas mieux dans les ligues nationales, avec par exemple le barrage L1-L2 en France qui est organisé de manière à ce que le barragiste de L1 ait le maximum de chances de se maintenir.