15-11-2021, 12:10
Je viens de terminer les trois saisons de Sex Education. Une vraie claque pour moi qui m'attendais à quelque chose proche d'American Pie !
Je précise que je ne suis ni supporter du lobby LGBTQ (ni d'aucun autre), ni du progressisme exacerbé (sans être hostile non plus), mais j'ai adoré la galerie de portraits et la profondeur des protagonistes que nous apprenons à aimer au fil des épisodes. Certains ont des trajectoires troublantes et vraiment touchantes. La grande quête post-adolescence est abordée : s'accepter tel que l'on est après avoir creusé pour trouver son identité profonde et vivre librement sa vie.
Quelle fraîcheur dans un monde de brutes, quelle bienveillance et finalement quelle humanité ! Les armures des uns se fendent quand la fragilité, l'excentricité ou la sensibilité des autres apparaissent comme leurs plus grandes forces. Alors oui, c'est kitsch, caricatural à souhait, publicitaire quasiment, ça pète de couleurs partout, mais ça m'a fait du bien ! Un peu énervant : les deux personnages principaux n'arrivent jamais à se comprendre et à se parler, pour enfin se rencontrer, alors qu'ils s'aiment et qu'ils ont une véritable connexion.
Beaucoup de sujets sont abordés, parfois très succinctement, mais c'est fait avec assez d'intelligence pour poser telle ou telle question sur la table. Le format en huit épisodes par saison oblige à avoir une belle cadence et les longueurs sont rares.
Je précise que je ne suis ni supporter du lobby LGBTQ (ni d'aucun autre), ni du progressisme exacerbé (sans être hostile non plus), mais j'ai adoré la galerie de portraits et la profondeur des protagonistes que nous apprenons à aimer au fil des épisodes. Certains ont des trajectoires troublantes et vraiment touchantes. La grande quête post-adolescence est abordée : s'accepter tel que l'on est après avoir creusé pour trouver son identité profonde et vivre librement sa vie.
Quelle fraîcheur dans un monde de brutes, quelle bienveillance et finalement quelle humanité ! Les armures des uns se fendent quand la fragilité, l'excentricité ou la sensibilité des autres apparaissent comme leurs plus grandes forces. Alors oui, c'est kitsch, caricatural à souhait, publicitaire quasiment, ça pète de couleurs partout, mais ça m'a fait du bien ! Un peu énervant : les deux personnages principaux n'arrivent jamais à se comprendre et à se parler, pour enfin se rencontrer, alors qu'ils s'aiment et qu'ils ont une véritable connexion.
Beaucoup de sujets sont abordés, parfois très succinctement, mais c'est fait avec assez d'intelligence pour poser telle ou telle question sur la table. Le format en huit épisodes par saison oblige à avoir une belle cadence et les longueurs sont rares.
"Chevalier, tu as dit que tu crois en un monde où les frères nés sous une mauvaise étoile peuvent vivre ensemble et que tu te battrais pour le construire. Aujourd'hui, sache que moi aussi je partage ton rêve." Bud d'Alcor