(25-01-2021, 16:10)Kornog a écrit : Pas sur.
Les assureurs/banquiers vont préférer garder l’argent, notamment en bourse.
Le(s) gouvernements(s) nous disent vouloir la relance économique, mais dans les faits, ils font l’inverse.
Sinon, pourquoi la réforme de l’ISF ne concerne plus que l’immobilier? Et la fameuse « flat tax »/PFU qui allège la fiscalité des dividendes, entre autre.
La planche à billet tourne à plein actuellement mais il faudra rembourser, forcément. Un nouveau confinement généralisé à l’échelle du pays achèvera certains commerçant, en plus de ceux ayant déjà déposé/liquidé.
Mais on préfère nous dire que les masques faits maisons ne servent plus à rien, que le virus est « diabolique », l’œuvre du Malin donc.
Je m’embrouille tout seul dans mes explications.
Je met un hola sur cette phrase car le système économique actuel est fait d'une telle façon qu'il n'y a aucun intérêt à rembourser une dette. Si tu rembourses une dette, tu supprimes par la même la ligne d'écriture électronique qui crée la monnaie associé à cette création de dette. C'est pour ça que nous sommes dans un système économique complètement taré où on créer de la monnaie par l'endettement et où on gagne plus d'argent par le gaspillage. Le fameux robinet de création monétaire par l'endettement (particulier-entreprise-état) est le système privilégié pour créer de la monnaie, presque du 3/1 que de la création monétaire lambda. Mis en place, normalement, pour éviter l'inflation.
Sauf que depuis l'arrosage récent par la "monnaie hélicoptère" de la BCE et autres banques centrales, expression si chère à Milton F, on se rend compte que ça n'occasionne pas d'inflation non plus. Donc on a inventé un système de timbré, complètement en roue libre, pour éviter un phénomène qu'un taré d'économiste, capable de vous dire qu'une théorie n'a pas besoin d'être vraie pour qu'elle fonctionne, avait mis en place pour faire peur aux Etats qui avaient tendance à financer leurs politiques publiques par de la création monétaire. Phénomène qui en fait n'existe pas.
Sauf que depuis l'arrosage récent par la "monnaie hélicoptère" de la BCE et autres banques centrales, expression si chère à Milton F, on se rend compte que ça n'occasionne pas d'inflation non plus. Donc on a inventé un système de timbré, complètement en roue libre, pour éviter un phénomène qu'un taré d'économiste, capable de vous dire qu'une théorie n'a pas besoin d'être vraie pour qu'elle fonctionne, avait mis en place pour faire peur aux Etats qui avaient tendance à financer leurs politiques publiques par de la création monétaire. Phénomène qui en fait n'existe pas.
Quand vous entendez tout le monde : le FMI, la Commission européenne, les gouvernements, etc., vous parler de "dettes publiques" comme si on était encore dans les années 50 et que l'on gère la dette d'un Etat comme dans un foyer, c'est soit de la malhonnêteté intellectuelle, soit une ignorance crasse ou bien les deux. Si tous les pays du monde entier cherchaient réellement à rembourser leurs dettes d'état, le système économique mondiale s'effondrerait, faute d'avoir de la monnaie suffisante en circulation.
La dette française, américaine, japonaise, etc. Elles ne seront jamais remboursées, jamais. Tout ceux qui disent le contraire, c'est de la communication pour alimenter un réservoir de réformes idéologiques. Et je ne dis pas ça comme une lutte entre la gauche et la droite, car la gauche a récemment eu ce type de discours également mais bien pour montrer que l'on ne peut pas dissocier le genre économique du politique et de l'idéologique.
La dette française, américaine, japonaise, etc. Elles ne seront jamais remboursées, jamais. Tout ceux qui disent le contraire, c'est de la communication pour alimenter un réservoir de réformes idéologiques. Et je ne dis pas ça comme une lutte entre la gauche et la droite, car la gauche a récemment eu ce type de discours également mais bien pour montrer que l'on ne peut pas dissocier le genre économique du politique et de l'idéologique.
"La vie de couple, c'est faire les choses à deux.
Elle décide : tu acceptes
Elle parle : tu écoutes
Elle se trompe : tu t'excuses"