16-01-2021, 17:23
(Modification du message : 16-01-2021, 17:25 par Nil Sanyas.)
Je trouve le débat biaisé.
On a pas à être pour ou contre l'HCQ ou autre. Ce ne sont ni des religions ni des clubs de foot. On n'est pas dans l'ordre de la croyance.
On doit juste faire des études pour vérifier si c'est bon ou pas dans le cadre du Covid19. Point.
Au début, ceux faussement estampillés contre, disaient juste que les preuves pro HCQ étaient insuffisantes. Ça ne fait pas de ces personnes des "contre". On n'est pas Georges Bush où si on n'est pas avec lui, on est contre lui. C'est un manichéisme malsain.
Après, si quelqu'un est contre par défaut, c'est à dire peu importe les études sur le sujet, alors oui tu peux parler de corruption. Mais pas si quelqu'un fait juste poser des questions et demande des preuves. C'est fausser le débat, c'est le pourrir en fait même.
La bonne logique voudrait qu'on fasse des études sur tout, peu importe quoi, si ça mène à des résultats probants, tant mieux. Après le lobbying, c'est un sujet majeur qui peut mettre des bâtons dans les roues. Surtout à Bruxelles et Washington où il est très très puissant.
Mais là encore, cette analyse franco-française est dérangeante. Comme si à l'étranger il n'y avait ni virus ni malades ni décès. Or qu'est-ce qu'ils utilisent à l'étranger pour soigner ?
On a pas à être pour ou contre l'HCQ ou autre. Ce ne sont ni des religions ni des clubs de foot. On n'est pas dans l'ordre de la croyance.
On doit juste faire des études pour vérifier si c'est bon ou pas dans le cadre du Covid19. Point.
Au début, ceux faussement estampillés contre, disaient juste que les preuves pro HCQ étaient insuffisantes. Ça ne fait pas de ces personnes des "contre". On n'est pas Georges Bush où si on n'est pas avec lui, on est contre lui. C'est un manichéisme malsain.
Après, si quelqu'un est contre par défaut, c'est à dire peu importe les études sur le sujet, alors oui tu peux parler de corruption. Mais pas si quelqu'un fait juste poser des questions et demande des preuves. C'est fausser le débat, c'est le pourrir en fait même.
La bonne logique voudrait qu'on fasse des études sur tout, peu importe quoi, si ça mène à des résultats probants, tant mieux. Après le lobbying, c'est un sujet majeur qui peut mettre des bâtons dans les roues. Surtout à Bruxelles et Washington où il est très très puissant.
Mais là encore, cette analyse franco-française est dérangeante. Comme si à l'étranger il n'y avait ni virus ni malades ni décès. Or qu'est-ce qu'ils utilisent à l'étranger pour soigner ?