26-09-2020, 09:07
T'es taquin serge, tout de suite tu compares à la ville inégalable et inégalée à travers le monde, t'aurais du prendre une ville normale, comme Bordeaux ou Neuilly sur Seine.
Marseille, ça ne se compare pas, ça s'admire. D'ailleurs, concernant le stationnement, on pourrait préciser qu'au vallon par exemple, carte postale incontournable de la ville la plus magnifique de l'univers, on stationne gratuitement, comme dans énormément d'endroits. M'enfin, c'est dur d'expliquer ça à un parisien.
Surtout que " LE Parisien" , le vrai, le pur, le dur, le tatoué, dans 99% des cas, c'est un provincial qui tente d'oublier qu'il est arrivé là un jour sans savoir pourquoi et qui n'est jamais reparti. C'est le premier à expliquer qu'à Paris, c'est pas pareil, qu'à Paris on a pas de temps à perdre alors on se range comme un Playmobil dans les escalators, que ci et que ça...
Mais il n'a jamais connu "sa" ville sans digicode, il n'a jamais bu un café dans un PMU de Belleville ou se croisaient les derniers picons et les premiers cafés serrés à l'aube, il ne larlepem lapem louchebem et il n'a jamais mis un pied dans Rungis.
Le vrai parisien, c'est Laurent Deutsch, il a la figure, l'allure, mais il essaie d'oublier qu'il arrive de Normandie en prenant de haut ses pères et ses pairs, et en oubliant que fut un temps, il en avait peut-être une, de paire... ou pas.
Comme chantait l'immense Jacko, " T'as l'air d'un nouveau riche, qu'a honte de son passé, et qui jette la photo de son âme déchirée par dessus les périph. "
Bon sinon, pour le coup, à l'instar du poulet fermier, j'ai Louet une place dans un parking sous-terrain pour 16 euros les 48 heures.
Puisse l'émir qui spécule sur ce bout de bitume enterré au quatrième sous-sol profiter de ma maigre contribution à son bonheur futur.
Marseille, ça ne se compare pas, ça s'admire. D'ailleurs, concernant le stationnement, on pourrait préciser qu'au vallon par exemple, carte postale incontournable de la ville la plus magnifique de l'univers, on stationne gratuitement, comme dans énormément d'endroits. M'enfin, c'est dur d'expliquer ça à un parisien.
Surtout que " LE Parisien" , le vrai, le pur, le dur, le tatoué, dans 99% des cas, c'est un provincial qui tente d'oublier qu'il est arrivé là un jour sans savoir pourquoi et qui n'est jamais reparti. C'est le premier à expliquer qu'à Paris, c'est pas pareil, qu'à Paris on a pas de temps à perdre alors on se range comme un Playmobil dans les escalators, que ci et que ça...
Mais il n'a jamais connu "sa" ville sans digicode, il n'a jamais bu un café dans un PMU de Belleville ou se croisaient les derniers picons et les premiers cafés serrés à l'aube, il ne larlepem lapem louchebem et il n'a jamais mis un pied dans Rungis.
Le vrai parisien, c'est Laurent Deutsch, il a la figure, l'allure, mais il essaie d'oublier qu'il arrive de Normandie en prenant de haut ses pères et ses pairs, et en oubliant que fut un temps, il en avait peut-être une, de paire... ou pas.
Comme chantait l'immense Jacko, " T'as l'air d'un nouveau riche, qu'a honte de son passé, et qui jette la photo de son âme déchirée par dessus les périph. "
Bon sinon, pour le coup, à l'instar du poulet fermier, j'ai Louet une place dans un parking sous-terrain pour 16 euros les 48 heures.
Puisse l'émir qui spécule sur ce bout de bitume enterré au quatrième sous-sol profiter de ma maigre contribution à son bonheur futur.
L'art est un labyrinthe dont la prouesse est de trouver l'entrée.