Non mais y'a rien qui va tout court dans cette affaire : le témoignage à sa fille au téléphone en direct, plusieurs grenades présentes éventuellement dans l'appartement, des flics qui viennent faire le ménage dans l'appartement avant enquête, les lanceurs de LBD suspectés qui ne sont pas remis à l'IGPN car pour le commandant des CRS suspectés, il n'y aurait plus assez d'armes dans sa compagnie, les caméras de surveillance qui n'identifient pas les CRS, l'unique expert balistique qui est de la police...
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