09-05-2020, 19:06
Alors soyons confiants, le port du masque est une mesure provisoire.
La première instruction interministérielle relative à la mise en œuvre des mesures de vigilance en cas de menaces d’agressions terroristes date de 1978, après l'attentat du 20 mai 1978 à Orly et la prise d'otages à l'ambassade d'Irak à Paris[sup]2[/sup]. Elle est prolongée en 1981 par le plan gouvernemental Pirate qui vise à faciliter la prise de décision du Premier ministre dans le cadre de la lutte contre les actes de terrorisme en général.Sous la direction du ministre de l'Intérieur Philippe Marchand[sup]3[/sup], est déclenché une première fois au moment de la guerre du Golfe, entre janvier et avril 1991[sup]4[/sup].En 1995, le plan gouvernemental Vigipirate (pour « vigilance et protection des installations contre les risques d'attentats terroriste à l'explosif »[sup][réf. nécessaire][/sup]) définit la répartition des responsabilités centrales et territoriales, ainsi que les principes pour conduire l’action de l’État dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Il définit deux mesures générales de vigilance (Vigipirate simple et Vigipirate renforcé) et un certain nombre de mesures spécifiques de vigilance et de prévention en cas de menaces spécifiques (menaces sur les aéronefs, menaces d’actions de type nucléaire, menaces d’actions de types biologiques et chimiques, menaces d’actions sur les navires).Le plan Vigipirate est actualisé en 2000, en 2002, en 2003 et en 2006. C’est en 2003 que sont définis les 4 niveaux d’alerte en vigueur jusqu'en février 2014 : jaune, orange, rouge et écarlate. La refonte de 2014 est bien plus importante que les précédentes. Elle élargit le périmètre des acteurs associés au plan (collectivités territoriales, opérateurs économique), elle rend public une partie du plan, elle rénove le mode de fonctionnement du plan[sup]5[/sup]. Le dispositif est de nouveau actualisé en décembre 2016[sup]4[/sup].
La première instruction interministérielle relative à la mise en œuvre des mesures de vigilance en cas de menaces d’agressions terroristes date de 1978, après l'attentat du 20 mai 1978 à Orly et la prise d'otages à l'ambassade d'Irak à Paris[sup]2[/sup]. Elle est prolongée en 1981 par le plan gouvernemental Pirate qui vise à faciliter la prise de décision du Premier ministre dans le cadre de la lutte contre les actes de terrorisme en général.Sous la direction du ministre de l'Intérieur Philippe Marchand[sup]3[/sup], est déclenché une première fois au moment de la guerre du Golfe, entre janvier et avril 1991[sup]4[/sup].En 1995, le plan gouvernemental Vigipirate (pour « vigilance et protection des installations contre les risques d'attentats terroriste à l'explosif »[sup][réf. nécessaire][/sup]) définit la répartition des responsabilités centrales et territoriales, ainsi que les principes pour conduire l’action de l’État dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Il définit deux mesures générales de vigilance (Vigipirate simple et Vigipirate renforcé) et un certain nombre de mesures spécifiques de vigilance et de prévention en cas de menaces spécifiques (menaces sur les aéronefs, menaces d’actions de type nucléaire, menaces d’actions de types biologiques et chimiques, menaces d’actions sur les navires).Le plan Vigipirate est actualisé en 2000, en 2002, en 2003 et en 2006. C’est en 2003 que sont définis les 4 niveaux d’alerte en vigueur jusqu'en février 2014 : jaune, orange, rouge et écarlate. La refonte de 2014 est bien plus importante que les précédentes. Elle élargit le périmètre des acteurs associés au plan (collectivités territoriales, opérateurs économique), elle rend public une partie du plan, elle rénove le mode de fonctionnement du plan[sup]5[/sup]. Le dispositif est de nouveau actualisé en décembre 2016[sup]4[/sup].
L'art est un labyrinthe dont la prouesse est de trouver l'entrée.