30-03-2020, 19:47
Bof. Je sais pas.
On a vu dans quasi tous les pays quelques phénomènes communs :
- Les gens des grandes villes (Paris, Montréal, Wuhan) quitter leur logement pour aller en campagne, diffusant ainsi le virus partout
- Dévaliser les magasins et prendre du PQ pour 10 ans (j'ai acheté deux petits paquets, alors qu'on est 6 à la maison au lieu de 3, on a toujours pas commencé à consommer le premier petit paquet de PQ)
- Aller dans les parcs, à la plage, à des évènements encore autoriser
- Ne pas respecter la distanciation sociale requise (encore aujourd'hui je l'ai vu, les gens sont soit inconscients soit ils comprennent pas le concept...)
- Ne pas toucher tout ce qui est "commun" (genre un caddie dans un supermarché) sauf à utiliser des gants ou à bien désinfecter avant
- Des magasins qui appliquent tardivement certaines règles pourtant basiques (mon épicerie à côté de chez moi ne le fait que depuis quelques jours, alors qu'il y a 4 jours encore c'était la fête à la saucisse)
- Des médias qui confondent nombre de malades comptabilisés et nombre de malades réels (la différence se faisant sur le nombre de tests - pas de test = pas de malade à leurs yeux donc)
- Des gouvernements qui appliquent des règles bonnes mais avec parfois plusieurs semaines de retard, parce que comme les médias, ils pensent que le nombre de malades comptabilisés représentent la réalité du moment, alors que ça représente au mieux la réalité d'il y a 2 semaine, au pire la réalité d'il y a un mois (voire plus)
- Des propos qui s'opposent d'un jour à l'autre parce que les dirigeants avancent journée par journée sans aucun recul et sans aucune vision à long terme
La réalité, c'est que tout ceci montre qu'au niveau climatique, on est dans la bouse car cela signifie que les gouvernements ne vont réagir que lorsqu'il sera trop tard. Tant que le virus n'était pas là, c'est-à-dire vraiment là sur place, c'est comme s'il n'existait pas pour la plupart des gouvernemens du monde entier (occident comme ailleurs hein). Et donc il faudra sûrement qu'il fasse 60 degrés en décembre et que New York devienne Venise pour que les gens se disent "hey, faudrait peut-être qu'on fasse quelque chose pour la planète".
D'un autre côté, ce qu'on vit actuellement montre aussi qu'on peut faire un bien fou à la planète en ralentissant les choses. Peut-être qu'on devrait tous bosser une journée par semaine et les 6 autres journées devraient devenir des Dimanches
On a vu dans quasi tous les pays quelques phénomènes communs :
- Les gens des grandes villes (Paris, Montréal, Wuhan) quitter leur logement pour aller en campagne, diffusant ainsi le virus partout
- Dévaliser les magasins et prendre du PQ pour 10 ans (j'ai acheté deux petits paquets, alors qu'on est 6 à la maison au lieu de 3, on a toujours pas commencé à consommer le premier petit paquet de PQ)
- Aller dans les parcs, à la plage, à des évènements encore autoriser
- Ne pas respecter la distanciation sociale requise (encore aujourd'hui je l'ai vu, les gens sont soit inconscients soit ils comprennent pas le concept...)
- Ne pas toucher tout ce qui est "commun" (genre un caddie dans un supermarché) sauf à utiliser des gants ou à bien désinfecter avant
- Des magasins qui appliquent tardivement certaines règles pourtant basiques (mon épicerie à côté de chez moi ne le fait que depuis quelques jours, alors qu'il y a 4 jours encore c'était la fête à la saucisse)
- Des médias qui confondent nombre de malades comptabilisés et nombre de malades réels (la différence se faisant sur le nombre de tests - pas de test = pas de malade à leurs yeux donc)
- Des gouvernements qui appliquent des règles bonnes mais avec parfois plusieurs semaines de retard, parce que comme les médias, ils pensent que le nombre de malades comptabilisés représentent la réalité du moment, alors que ça représente au mieux la réalité d'il y a 2 semaine, au pire la réalité d'il y a un mois (voire plus)
- Des propos qui s'opposent d'un jour à l'autre parce que les dirigeants avancent journée par journée sans aucun recul et sans aucune vision à long terme
La réalité, c'est que tout ceci montre qu'au niveau climatique, on est dans la bouse car cela signifie que les gouvernements ne vont réagir que lorsqu'il sera trop tard. Tant que le virus n'était pas là, c'est-à-dire vraiment là sur place, c'est comme s'il n'existait pas pour la plupart des gouvernemens du monde entier (occident comme ailleurs hein). Et donc il faudra sûrement qu'il fasse 60 degrés en décembre et que New York devienne Venise pour que les gens se disent "hey, faudrait peut-être qu'on fasse quelque chose pour la planète".
D'un autre côté, ce qu'on vit actuellement montre aussi qu'on peut faire un bien fou à la planète en ralentissant les choses. Peut-être qu'on devrait tous bosser une journée par semaine et les 6 autres journées devraient devenir des Dimanches