29-03-2020, 12:32
(Modification du message : 29-03-2020, 13:22 par Mr.Grieves.)
Pareil que foutch sur la belle époque. Sympa sans plus.Moi, c'est le perso de Canet ou j'ai eu le plus de mal. Techinquement c'est pas trop mal branlé, ca rassure un peu pour l'OSS117 ou Bedos sera aux manettes.
Sinon, samedi de confinement
Alors oui, une énième version de l'homme invisible mais Leigh Whannel est derrière à la camera et l'écriture ( il avait fait un très bon taffe sur upgrade avec une poignée de figue et il reste le scénariste du premier Saw le seul qui vaille) et Elisabeth Moss est devant la caméra.
Et c'est encore une fois bien sympa. Ca va laisser du monde sur le carreau, assurément, surtout ceux qui s'attendent à du spectaculaire Hollywoodien, le film est quasiment en deux parties, la première tient plus du drame psychologique, le fantastique et l'horreur ne sont pas clairement identifié pourtant je marchais à fond, bien tendu, à scruter chaque coin de pièce alors qu' on est plus sur les ravages de l'emprise psychologique d'un homme sur une femme ( film clairement mee too)
La deuxième partie est plus convenue, plus dans le spéctaculaire (le mec a écrit Saw quoi) et plus dans le style que je m'attendais (avec quelques beaux petits moment de tension quand même)
Elisabeth Moss déglingue tout comme d'hab'. Comme quasiment tout ce qu'elle touche.
De la bonne série B encore une fois avec à peine 7 millions .Ca serait bien de confier un gros budget à ce mec pour voir ce qu'il pourrait en faire.
Sinon, samedi de confinement
Alors oui, une énième version de l'homme invisible mais Leigh Whannel est derrière à la camera et l'écriture ( il avait fait un très bon taffe sur upgrade avec une poignée de figue et il reste le scénariste du premier Saw le seul qui vaille) et Elisabeth Moss est devant la caméra.
Et c'est encore une fois bien sympa. Ca va laisser du monde sur le carreau, assurément, surtout ceux qui s'attendent à du spectaculaire Hollywoodien, le film est quasiment en deux parties, la première tient plus du drame psychologique, le fantastique et l'horreur ne sont pas clairement identifié pourtant je marchais à fond, bien tendu, à scruter chaque coin de pièce alors qu' on est plus sur les ravages de l'emprise psychologique d'un homme sur une femme ( film clairement mee too)
La deuxième partie est plus convenue, plus dans le spéctaculaire (le mec a écrit Saw quoi) et plus dans le style que je m'attendais (avec quelques beaux petits moment de tension quand même)
Elisabeth Moss déglingue tout comme d'hab'. Comme quasiment tout ce qu'elle touche.
De la bonne série B encore une fois avec à peine 7 millions .Ca serait bien de confier un gros budget à ce mec pour voir ce qu'il pourrait en faire.