16-12-2018, 14:44
Très très belle image, les seins nus sont à la fois la faiblesse des démunis face aux équipements guerriers et la force de la continuité par la maternité qu'ils symbolisent.
Ceci étant
Gilets Jaunes
Le ras le bol des secondes classes ou la révolte des gueux.
Constatations
1-Mouvement brouillon, souvent qualifié d'inaudible par les médias car trop de revendications différentes qui partent dans tous les sens, pas de porte-parole, hormis des auto-proclamés qui ne représentent qu'eux mêmes et des politiques qui essaient de récupérer le mouvement.
2-On constate la faillite des structures en place, des partis politiques dépassés, des syndicats inexistants ou bloqués sur leurs propres lignes revendicatives.
3- Dans les manifestations l'ensemble des sensibilités, droite, gauche, apolitiques ou extrèmes est représenté. Cette crise n'est donc pas une crise politique mais une crise de société.
4-Les inégalités, les chiffres le montrent, sont en train de se creuser dans toute l'Europe, pendant que les pressions fiscales ne baissent pas et que les taxes indirectes, carburants, radars ... etc prospèrent.
On comprend donc les irritations de ceux qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller bosser, choisir de se ruiner en transports ou se ruiner pour une location en ville, choix difficile d'autant que les centre-ville seront bientôt réservés aux "véhicules propres". C'est le déclencheur.
L'indispensable écologie se résume maintenant à une taxe injuste.
Des solutions existent, comme le co-voiturage. Sympa, mais pas forcemment pérenne, quel plaisir de transporter dans ta propre bagnole deux ou trois types équipés de manches de pioche et qui te racontent leur prochaine ratonade une fois arrivés à destination.
Tout semble tourner autour de ces fameuses inégalité, un sentiment de glissade vers la précarité et/ou le statut de "vache à lait" causé par l'immigration, l'écologie, la baisse du pouvoir d'achat ... et tout ce qu'on peut imaginer.
à suivre: Que faire?
Ceci étant
Gilets Jaunes
Le ras le bol des secondes classes ou la révolte des gueux.
Constatations
1-Mouvement brouillon, souvent qualifié d'inaudible par les médias car trop de revendications différentes qui partent dans tous les sens, pas de porte-parole, hormis des auto-proclamés qui ne représentent qu'eux mêmes et des politiques qui essaient de récupérer le mouvement.
2-On constate la faillite des structures en place, des partis politiques dépassés, des syndicats inexistants ou bloqués sur leurs propres lignes revendicatives.
3- Dans les manifestations l'ensemble des sensibilités, droite, gauche, apolitiques ou extrèmes est représenté. Cette crise n'est donc pas une crise politique mais une crise de société.
4-Les inégalités, les chiffres le montrent, sont en train de se creuser dans toute l'Europe, pendant que les pressions fiscales ne baissent pas et que les taxes indirectes, carburants, radars ... etc prospèrent.
On comprend donc les irritations de ceux qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller bosser, choisir de se ruiner en transports ou se ruiner pour une location en ville, choix difficile d'autant que les centre-ville seront bientôt réservés aux "véhicules propres". C'est le déclencheur.
L'indispensable écologie se résume maintenant à une taxe injuste.
Des solutions existent, comme le co-voiturage. Sympa, mais pas forcemment pérenne, quel plaisir de transporter dans ta propre bagnole deux ou trois types équipés de manches de pioche et qui te racontent leur prochaine ratonade une fois arrivés à destination.
Tout semble tourner autour de ces fameuses inégalité, un sentiment de glissade vers la précarité et/ou le statut de "vache à lait" causé par l'immigration, l'écologie, la baisse du pouvoir d'achat ... et tout ce qu'on peut imaginer.
à suivre: Que faire?