Keyser :Tu vas me dire que ton patron est venu personnellement te reprocher tes retards à ton travail à cause d'une grève qui n'était pas de ton fait ? Tu me donneras l'adresse de ton patron, tu peux transformer ça en harcélement du travail, tu peux lui faire cracher un max
Là, c'est un problème avec ton patron, parce que s'il n'est pas capable de comprendre que tu n'es pas responsable, il faut revoir son système de management
Même Mac Donald, quand il y a eu la grève des transports à Paris, et j'y ai travaillé pendant plusieurs mois, ont été plus compréhensif et ce ne sont pas des philantropes.
Moi j'ai juste une question, est-ce que tu en as parlé personnellement avec ton patron ? Je suis presque surpris qu'il ne t'ai pas proposé de dormir directement à ton travail pour être sur de ne pas être en retard.
nasser : Tu n'as regardé aucun flash télé ? Dans le cadre de mon travail de cours politique, je me tape depuis hier toute la revue de presse parlant du mouvement. Y'a déjà au moins 3 porte-voix, qui ont parlé de plusieurs points de leurs revendications, je ne vais pas tous les ressortir, mais il y avait des choses intéressantes comme prêts à taux zéros pour les produits de premières nécessités, taxes zéro sur une liste de produits nécessaires, hausse de taxes sur les produits de luxes. Je crois que le premier point d'annicroche reste l'ISF et le CICE qu'ils veulent voir supprimer (qui côute 45 milliards d'euros à l'Etat au passage). Après le mouvement est diffus, je l'accorde, mais le ras-le-bol général tiens plus sur la non-représentativité étatique de la population, l'impression de ne pas être écouté. J'ai écouté et regardé le discours de Macron, mais c'est incroyable d'avoir aussi peu d'empathie qui se dégage de son discours, même Sarkozy, que j'ai beaucoup conspué pour son hypocrisie, me semblait plus sincère ou jouait mieux la comédie, c'est dire.
D'ailleurs, symptomatique d'un gouvernement qui n'a pas compris pourquoi les gens gueulaient, la première minute de son discours a porté sur les violences, comme si c'était le point central du problème, alors que ce n'en est que la conséquence, en faisant la logographie de son discours, c'était très clair qu'il n'avait rien à proposer.
Là, c'est un problème avec ton patron, parce que s'il n'est pas capable de comprendre que tu n'es pas responsable, il faut revoir son système de management
Même Mac Donald, quand il y a eu la grève des transports à Paris, et j'y ai travaillé pendant plusieurs mois, ont été plus compréhensif et ce ne sont pas des philantropes.
Moi j'ai juste une question, est-ce que tu en as parlé personnellement avec ton patron ? Je suis presque surpris qu'il ne t'ai pas proposé de dormir directement à ton travail pour être sur de ne pas être en retard.
nasser : Tu n'as regardé aucun flash télé ? Dans le cadre de mon travail de cours politique, je me tape depuis hier toute la revue de presse parlant du mouvement. Y'a déjà au moins 3 porte-voix, qui ont parlé de plusieurs points de leurs revendications, je ne vais pas tous les ressortir, mais il y avait des choses intéressantes comme prêts à taux zéros pour les produits de premières nécessités, taxes zéro sur une liste de produits nécessaires, hausse de taxes sur les produits de luxes. Je crois que le premier point d'annicroche reste l'ISF et le CICE qu'ils veulent voir supprimer (qui côute 45 milliards d'euros à l'Etat au passage). Après le mouvement est diffus, je l'accorde, mais le ras-le-bol général tiens plus sur la non-représentativité étatique de la population, l'impression de ne pas être écouté. J'ai écouté et regardé le discours de Macron, mais c'est incroyable d'avoir aussi peu d'empathie qui se dégage de son discours, même Sarkozy, que j'ai beaucoup conspué pour son hypocrisie, me semblait plus sincère ou jouait mieux la comédie, c'est dire.
D'ailleurs, symptomatique d'un gouvernement qui n'a pas compris pourquoi les gens gueulaient, la première minute de son discours a porté sur les violences, comme si c'était le point central du problème, alors que ce n'en est que la conséquence, en faisant la logographie de son discours, c'était très clair qu'il n'avait rien à proposer.
"La vie de couple, c'est faire les choses à deux.
Elle décide : tu acceptes
Elle parle : tu écoutes
Elle se trompe : tu t'excuses"