29-12-2013, 10:55
(29-12-2013, 10:43)Mr.Grieves a écrit :(29-12-2013, 00:15)Madinho a écrit : Ah ? Pourquoi que donc ?
Pour le bouquin, faut quand même rentrer dans le délire.
Donc comme on est pas trop con, on a quand même compris assez vite ou Brett easton Ellis voulait en venir : le vide total dans la vie de Bateman et l’absence de désir qui l’amène au meurtre en série de plus en plus gore pour se "sentir vivant" et "vouloir quelque chose". OK
Et pour bien marquer le coup du vide et du manque de désir, effectivement on se tape des envolées interminables sur les fringues, la musique, les meubles, les produits de beauté, les soins du corps dont in fine on se bats les coui*les et surtout lui vu que l‘Amex de Bateman lui permet de s‘offrir tout ca en un clin d‘oeil…. Bref, c’est un procédé, et c’est peut-être nécessaire au bouquin, je critique pas, mais faut pas s’étonner de perdre du lecteurs en cours de route et que ça ne plaise pas.
Le bouquin est extrêment clivant donc faut pas s’étonner qu’il laisse des mecs en route.
Perso, je ne regrette pas de l’avoir lu, c’est peut-être un bouquin important sur les eighties et leur superficialité, mais j’aurais du mal à le recommander, encore plus à à jouer les thuriféraires pour un truc pareil
farpaitement !