(05-11-2013, 17:37)cetace a écrit : Bien d'accord, à Marseille, en centre ville, 80% des magasins sont franchisés...C'est la cas partout.
Quand tu vois tout le blabla qu'ils ont fait sur la Rue de la République (qui n'est qu'un centre commercial à ciel ouvert), où l'on retrouve les mêmes boutiques que dans la rue St-Fé... et qu'au Centre Bourse, et que dans les futures "terrasses du Port", etc.
Et sur l'indispensable ouverture le dimanche, ils prenaient comme argument le fait que quand les croisiéristes débarquaient, ils trouvaient des magasins fermés. Outre le fait que les croisiéristes ne constituent jamais que quelques milliers de personnes, sont-ils intéressés pour aller claquer du fric dans le même enchaînement Celio-Starbucks-Desigual-H&M-MacDo qu'ils ont quitté la veille au soir à Barcelone et retrouveront le lendemain à Gênes ?
(05-11-2013, 17:43)Nil Sanyas a écrit : Edit : réponse à Mazargues.Ah, l'hémisphère gauche du cerveau de Nil vient de reprendre l'ascendant
Non, j'ai la chance d'avoir une certaine liberté, mais je sais que je suis privilégié et que d'autres subissent des horaires horribles et des rémunérations minables (et dans des conditions de travail parfois catastrophiques).
A mon goût, personne ne devrait toucher le SMIC tant il est faible, hormis peut-être les plus jeunes qui débutent, mais bon passé 6 mois/un an, il devrait y avoir évolution. Mais bon, dans la réalité, ce n'est pas comme ça que ça se passe malheureusement.
La moitié des salariés à temps plein touchent moins de 1700 euros. C'est franchement anormal. Si c'était 10 ou 20 %, on pourrait comprendre et se dirent qu'ils évolueront. Mais 50 %... c'est gigantesque. Et le pire étant qu'il n'y aura pas d'évolution jusqu'à leur retraite.
Le problème de l'évolution salariale est d'ailleurs majeure je trouve. On peut bien commencer très bas si le salaire évolue assez rapidement et d'une manière importante. Mais tant de gens ont de faibles rémunérations qui stagnent que c'est alarmant, surtout avec l'inflation importante que l'on remarque sur les biens de première nécessité (sans même parler des loyers). En fait, ils régressent...