Moi aussi je me répète sur Drive
C'est vraiment un truc pour les lecteurs de Télérama qui décortiquent un plan, les cadrages et tout le tsoin tsoin. J'ai pas envie de voir de voir des exercices de styles au cinéma comme je n'ai pas envie de lire un bouquin d'un gus qui n'a pas envie d'écrire avec la lettre E.
Black Swan pour faire la comparaison dans les films "sérieux", se base au moins sur un scénario béton et une manière de présenter la folie phénoménale.
Drive, le scénario tient sur un post-it, je m'attaquerai au bouquin pour me faire une idée de son adaptabilité, les plans sont tirées en longueur et en longueur... La ou tu vois un jeu d'acteur minimaliste, j'ai l'impression, en trollant un peu , de voir une prestation monomimique de Steaven Seagal.
Vraiment pour moi, un peu de bonne musique, deux scènes "coup de poing" et des dialogues de muets ne peuvent pas faire un bon film. Trop conceptuel :Smiley Arthe, c'est la nuit:
C'est vraiment un truc pour les lecteurs de Télérama qui décortiquent un plan, les cadrages et tout le tsoin tsoin. J'ai pas envie de voir de voir des exercices de styles au cinéma comme je n'ai pas envie de lire un bouquin d'un gus qui n'a pas envie d'écrire avec la lettre E.
Black Swan pour faire la comparaison dans les films "sérieux", se base au moins sur un scénario béton et une manière de présenter la folie phénoménale.
Drive, le scénario tient sur un post-it, je m'attaquerai au bouquin pour me faire une idée de son adaptabilité, les plans sont tirées en longueur et en longueur... La ou tu vois un jeu d'acteur minimaliste, j'ai l'impression, en trollant un peu , de voir une prestation monomimique de Steaven Seagal.
Vraiment pour moi, un peu de bonne musique, deux scènes "coup de poing" et des dialogues de muets ne peuvent pas faire un bon film. Trop conceptuel :Smiley Arthe, c'est la nuit: