14-01-2013, 12:52
(14-01-2013, 12:27)The Strokes a écrit :(14-01-2013, 12:21)Joeuf de Paimboeuf a écrit : C'est l'ancien président de l'Assemblée Nationale qui a pris le pouvoir par interim suite à un accord ayant amené le retrait des putchistes.
http://afrique.blog.lemonde.fr/2012/04/0...rogations/
De toute façon, putchiste ou pas on ne va pas laisser le Mali aux mains de groupes terroristes !
C'est ce que nous racontent les médias actuellement.. Je trouve qu'on justifie beaucoup de guerres néocolonialistesde l'OTAN par le terrorisme (souvent qui vient d'ailleurs directement d'autres guerres menés encore par l'OTAN pour soi-disant libérer des pays).
Personnellement, je vais attendre d'avoir plus d'éléments et m'être mieux renseigné sur le pays avant d'avoir un avis aussi tranché et prendre tout ce que les médias me vendent pour argent comptant... surtout vus les guerres récentes...
Ça fait quand même quelques années qu'il y a des problèmes liés aux groupes terroristes dans la région. C'est pas comme s'ils pillaient, tuaient et amputaient la population depuis presque 1 an au Nord-Mali. Et en substance, c'est le président en place au Mali, certes pas élu par le peuple mais bien moins dangereux qu'Ansar Din, qui a, je le répète, demandé l'intervention urgente de la France pour éviter la prise de Bamako.
Sinon, à t'écouter Hollande aurait dû prendre le temps de savoir s'il fallait intervenir et laisser les extrémistes prendre le contrôle total du pays, et faire vivre dans la terreur les Maliens.
Franchement, je ne suis pas pour l'interventionnisme à outrance mais quand il y a un cas de force majeur, et là c'est le cas, il faut y aller sans réfléchir.
(14-01-2013, 12:27)Dragnir a écrit : Le truc qui m'embête un peu dans l'histoire, c'est que tôt ou tard ça va déboucher sur une bombe dans le métro parisien ou dans une grande gare quelconque, quelque part en France.
Bon après, effectivement, le motif de l'intervention parait être tout à fait justifié. Puis y'a pas de gaz ou de pétrole au Mali, non ?
C'est sûr c'est le risque. Mais l'installation d'un pouvoir terroriste au Mali laisserait planer le même risque.