31-03-2012, 08:49
(Modification du message : 31-03-2012, 08:52 par The Strokes.)
(31-03-2012, 04:49)Old Trafford a écrit : Ca, c'est du sondage, si j'ose dire. J'aime bien la fin de l'article en plus :
L'Ifop précise qu'"afin d'accroître la fiabilité des résultats", "il a posé ces questions dans une enquête dont la taille de l'échantillon et le mode de recueil réduisent fortement la marge d'erreur et les risques de sous-déclaration inhérents au caractère intime et sensible du sujet abordé".
J'espère qu'ils font pareil pour les sondages concernant les élections.
@ The Strokes : il n'y rien d'excessif dans mes propos : il y a une différence entre les écrits scientifiques (sans jugements de valeur) et des articles journalistiques (ou des pamphlets comme ceux de Stiglitz) imprégénés de parti-pris politiques et donc dénués de toute objectivité. J'aime les premiers, pas les seconds. (Ca ne veut pas dire que tous les articles dans les journaux ne sont pas objectifs, fort heureusement.) Sinon, une prédiction correcte de Krugman ou de Stiglitz ?
Pour une prédiction correcte, on peut déjà citer la Grèce... sur la manque de moyens des plans de relance (ce sont les premiers qui me viennent à l'esprit).
(30-03-2012, 13:14)Miki a écrit :(29-03-2012, 22:18)TheStrokes a écrit : la "catastrophe" c'est l'euro et des pays comme la Suède ou le Danemark sont là pour le montrer.Tu trouves que le Royaume-Uni et sa livre, son taux de déficit de 11%, son taux d'endettement de 90%, son chômage flirtant avec les 10% etc... va bien toi? Et je parle pas de la non-protection sociale qui y règne, ou du dernier budget du gouvernement Cameron, qui est un fabuleux "allez tous vous faire mettre les connards de pauvres"...
Ça va fort en Espagne... http://www.lemonde.fr/economie/article/2..._3234.html
Le problème de l'Angleterre, c'est que ce n'est plus qu'une économie de services. Il n'y a quasiment plus d'industrie au Royaume-Uni et cela ne date pas d'hier.
Néanmoins, Cameron ayant assez intelligemment laissé filer la livre, on retrouve un semblant de production sur le sol britannique.
Le Royaume-Uni du fait de cette pauvreté industrielle est difficilement comparable avec la France, la Suède ou le Danemark qui ont ce tissu industriel et où la dévaluation amène directement une hausse de la compétitivité et des exportations.