23-03-2012, 17:10
Keyser, tu mets pas mal de smileys du genre Moi là j'essaie de parler sérieusement, de choses pas simples et je crois, en tout cas j'essaie, de mettre de la complexité et de la nuance dans mes propos.
J'ai dit plusieurs fois depuis hier que c'était probablement très difficile de faire face à des personnes comme ce tueur, où on est au croisement de problèmes de délinquance et de problèmes psychiatriques, le tout mâtiné d'idéologie religieuse servant de prétexte. Heureusement que tous les gens qui ont des difficultés sociales ou psychiatriques, ou les deux, ne finissent pas comme lui. Il y en a un de temps en temps qui passe entre les mailles des filets des systèmes de protection sociale, de la prise en charge psychiatrique, et de la loi. Ça donne ce genre de carnage, et c'est toujours un drame de trop.
Et d'un autre côté on sait que ça se reproduira un jour, il y a une sorte de fatalité à cela et c'est triste à dire.
Je suis plutôt d'accord avec la première phrase de ton point 2, après je m'interroge, comme le fait Squarcini dans l'interview, quand il dit "Des personnes, dont des enfants, sont morts d'une façon particulièrement cruelle, et nous nous posons forcément la question: est-ce qu'on aurait pu faire différemment? Est-ce qu'on a raté quelque chose? Est-ce qu'on a été assez vite?"
J'ai dit plusieurs fois depuis hier que c'était probablement très difficile de faire face à des personnes comme ce tueur, où on est au croisement de problèmes de délinquance et de problèmes psychiatriques, le tout mâtiné d'idéologie religieuse servant de prétexte. Heureusement que tous les gens qui ont des difficultés sociales ou psychiatriques, ou les deux, ne finissent pas comme lui. Il y en a un de temps en temps qui passe entre les mailles des filets des systèmes de protection sociale, de la prise en charge psychiatrique, et de la loi. Ça donne ce genre de carnage, et c'est toujours un drame de trop.
Et d'un autre côté on sait que ça se reproduira un jour, il y a une sorte de fatalité à cela et c'est triste à dire.
Je suis plutôt d'accord avec la première phrase de ton point 2, après je m'interroge, comme le fait Squarcini dans l'interview, quand il dit "Des personnes, dont des enfants, sont morts d'une façon particulièrement cruelle, et nous nous posons forcément la question: est-ce qu'on aurait pu faire différemment? Est-ce qu'on a raté quelque chose? Est-ce qu'on a été assez vite?"