A ceux qui s'étonnent de la présence de politiques sur les lieux du drames je voudrais rappeler un évènement qui se rapproche de celui de ce matin, c'est l'attentat visant une synagogue dans la rue de Copernic en 1980 au cours duquel 4 personnes ont été tuées. Le jour de l'attentat, Giscard était à la chasse et n'avait pas daigné rentrer. Il n'était venu sur place que 13 jours plus tard. Ce manquement lui a été longtemps reproché. Mais un politique qui se conduirait comme cela aujourd'hui serait quasiment contraint à la démission immédiate.
Aujourd'hui un politique qui se conduirait de cette façon serait "châtie" médiatiquement.
Lors de l'Erica, Dominique Voynet avait attendu 24 heures pour se rendre sur le lieu de l'échouage, elle avait été dézinguée. Rappelez-vous au moment de la canicule quand un ministre a été interrogé depuis son lieu de vacances, bronzé et en polo Lacoste, il ne s'en ait jamais remis.
A l'heure de la médiatisation à outrance, de l'info en continue, les politiques se doivent d'être "sur le coup" et de réagir dans l'instant, sous peine de prendre très cher. On peut le déplorer mais ils ne peuvent faire autrement.
Aujourd'hui un politique qui se conduirait de cette façon serait "châtie" médiatiquement.
Lors de l'Erica, Dominique Voynet avait attendu 24 heures pour se rendre sur le lieu de l'échouage, elle avait été dézinguée. Rappelez-vous au moment de la canicule quand un ministre a été interrogé depuis son lieu de vacances, bronzé et en polo Lacoste, il ne s'en ait jamais remis.
A l'heure de la médiatisation à outrance, de l'info en continue, les politiques se doivent d'être "sur le coup" et de réagir dans l'instant, sous peine de prendre très cher. On peut le déplorer mais ils ne peuvent faire autrement.