J'aime bien Groland, et j'aime bien parce que c'est de la satire. Je ne crois donc pas qu'il faille en faire une référence sur le sujet au premier degré.
Le fatalisme, c'est aussi une manière de ne pas changer, presque une facilité.
Les effets du changement climatique sont à l'oeuvre. Nous, dans les pays tempérés, on ne le sent pas trop, mais d'autres sont déjà impactés aujourd'hui.
Et peut-être que quand on a des enfants, on s'en fout moins, parce que le futur devient une réalité tangible à travers eux.
Et je ne parle même pas ici de la responsabilité que nous avons envers tout le reste du vivant, en tant qu'êtres "conscients".
Le fatalisme, c'est aussi une manière de ne pas changer, presque une facilité.
Les effets du changement climatique sont à l'oeuvre. Nous, dans les pays tempérés, on ne le sent pas trop, mais d'autres sont déjà impactés aujourd'hui.
Et peut-être que quand on a des enfants, on s'en fout moins, parce que le futur devient une réalité tangible à travers eux.
Et je ne parle même pas ici de la responsabilité que nous avons envers tout le reste du vivant, en tant qu'êtres "conscients".