01-12-2004, 07:41
Yankee a écrit :Les non-abonnés trinquent à l'OM
A MARSEILLE, on refuse de pleurer sur le sort des spectateurs non abonnés du Stade-Vélodrome qui sont ceux qui, en moyenne, paient le plus cher pour assister à un match de L 1. « Il y a un fossé entre nous, reconnaît Michel Tonini, le vice-président des Yankees, dans le virage nord. Quelque part, ces gens-là paient le prix de notre gloire.
Parce que le vrai spectacle au Vélodrome, cette saison, est donné par les supporters. Ce ne sont pas nos joueurs qui nous font, hélas, concurrence. Et, avec un peu de cynisme, on peut dire qu'en faisant payer aussi cher nos prestations aux non-abonnés, nos dirigeants se remboursent de la pression qu'on leur fait subir... » Tonini se dit pourtant fier d'avoir enrayé l'inflation dans les virages. « Les supporters marseillais ont su s'unir pour empêcher une politique d'abonnement délirant, explique-t-il. On sent bien que la mode est de faire croire qu'un abonnement est un privilège qui doit donc se payer au prix fort. Il faut résister à ça. Ici, on trouve des abonnements à partir de 120 ¤ . Et la tradition est d'amener son propre sandwich dans le virage. C'est une façon de résister. »
Ch.B.
tain ça va pas plaire à Chauvet ça
au fait, remarquez les initiales du journaliste, ça vous rapelle rien? il s'est vite recycler hein
Faudra un jour demander à Tonini si l'OM et les supporters c'est pas un peu la poule et l'Oeuf. Au moins le temps qu'il réfléchisse, il ferme sa gueule...
Je veux pas trop me pencher sur le problème des groupes de supp, trop novice en la matière, mais quand j'entends Tonini parler de gloire.....
Et si j'ai bien tout lu, qui à le plus de raisons de gueuler au stade ?
- Le boys band Tonini qui paye son abonnement pour voir des joueurs en tutu.
- Ou Le non abonné, qui en payant 80 Euros sa place (si il a la chance d'en trouver une) se paye non seulement des joueurs en cartons mais en plus doit se coltiner les invectives de mecs qu'il a aidé, au vue du prix de sa place, à installer. Promis Tonini, la fois où je viens au vél, je t'amène le sandwich rillette