26-01-2011, 16:00
Il y en a d'autres surement...mais Blade Runner et surtout 2001 l'Odyssée restent pour moi des références d'adaptations très réussies de grands romans de SF.
A la revoyure ces films sont épouvantablement lents, sublimement lents et existent aussi dans cette autre dimension qu'on pourrait qualifier d'hypnotique.
C'est à peu près tout ce qu'il manque aux films de SF actuels qui traquent tous temps morts au profit de tant d'effets de rapidité. Poursuite en starships, bastons aux flingues laserthermoprotonique de mes coroñes et j'en passe des prises de têtes au rayon gamma ou très bêtas qui lavent plus blanc la mémoire tout autant que les conneries scénariques de tout poil.
Le Thème central de la SF c'est le temps et l'espace , qui finalement s'accommode assez mal avec l'espace détente le temps d'un seau de pop corns engloutis. La SF démarre avec la question de l'homme contemplant un ciel étoilé et qui vendrait pères et mères pour avoir la détente de Diawara multipliée par dix puissance un billion tendant les doigts vers l'étoile qu'il voudrait toucher alors qu'elle est morte.
La SF c'est le désespoir de l'infiniment grand qui grandit dans nos crânes trop petits. Et, Cela prend un temps fou de ne rien comprendre, et de se laisser porter l'espace d'un moment à la vitesse de la lumière d'une question lancée dans l'inconnu sidéral de notre imagination ou de celle d'un autre en l'occurence.
Sur ce je vais me faire des pop corns, ça m'éclate.
A la revoyure ces films sont épouvantablement lents, sublimement lents et existent aussi dans cette autre dimension qu'on pourrait qualifier d'hypnotique.
C'est à peu près tout ce qu'il manque aux films de SF actuels qui traquent tous temps morts au profit de tant d'effets de rapidité. Poursuite en starships, bastons aux flingues laserthermoprotonique de mes coroñes et j'en passe des prises de têtes au rayon gamma ou très bêtas qui lavent plus blanc la mémoire tout autant que les conneries scénariques de tout poil.
Le Thème central de la SF c'est le temps et l'espace , qui finalement s'accommode assez mal avec l'espace détente le temps d'un seau de pop corns engloutis. La SF démarre avec la question de l'homme contemplant un ciel étoilé et qui vendrait pères et mères pour avoir la détente de Diawara multipliée par dix puissance un billion tendant les doigts vers l'étoile qu'il voudrait toucher alors qu'elle est morte.
La SF c'est le désespoir de l'infiniment grand qui grandit dans nos crânes trop petits. Et, Cela prend un temps fou de ne rien comprendre, et de se laisser porter l'espace d'un moment à la vitesse de la lumière d'une question lancée dans l'inconnu sidéral de notre imagination ou de celle d'un autre en l'occurence.
Sur ce je vais me faire des pop corns, ça m'éclate.
En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils