Vous foncez tête baissée sur le malheureux devant vous. Il est pataud, il vous rappel un peu Ronald Zubar. Cest donc sans aucun scrupule que vous enfoncez sa défense. Il sécrase tel un éléphant aux pattes dargile dans un jeu de quille qui a mangé des noix de coco sans avoir danus. Gisant sur le sol, il ne semble pas en mesure de continuer le combat. Vous lui jetez un dernier regard pour vous assurer de votre victoire puis vous reprenez lascenseur complètement dégriser par cette monté dadrénaline salvatrice. Arrivé au RDC, cest dun pas décidé que vous vous approchez de la limousine bleu et blanche aperçu un peu plus tôt. La porte souvre Un homme sort pour vous accueillir, un homme méconnaissable au teint blafard .
Faîte une pause, allez prendre un café, embrassez votre femme On se donne rendez-vous un peu plus loin