18-03-2009, 18:08
Spoil'heure : déjà, au niveau de la violence physique avec de la barbac' à toutes les sauces, ça m'a rendu assez mal à l'aise, pas comme sur un vendredi 13, hostel ou autres slasher où justement tu es plutôt tenté de sourire face à certains running gag même bien gore. mais là, ça te touche au fond de la chair, comme si c'est toi qui en prenait pour ton grade à certains moment. A priori, un des objectif de l'auteur : ne pas se sensurer là dessus. il aurait peut etre dû finalement.
ensuite, sujet au combien passionnant avec son lots de passionnés plus ou moins extrême sur la quete de ce qu'il y a après la mort. mais sans machine à remonter le temps, juste sur l'expérimentation poussée de la souffrance humaine, qui conclut, et ça c'est assez mal vu Jean Convient, à ouvrir une porte vers l'au dela.
Et ce milieu dérangeant de 8 clos avec sa salle en sous sol, endroit de tous les vices au nom de l'expérimentation anarchique.
une première partie du film où on se demande ou l'on va en venir, une autre qui déage tous ses secrets.
comme je l'ai dit, ça ne laisse pas indifférent, que ça soit du coté du ying ou du yang.
ensuite, sujet au combien passionnant avec son lots de passionnés plus ou moins extrême sur la quete de ce qu'il y a après la mort. mais sans machine à remonter le temps, juste sur l'expérimentation poussée de la souffrance humaine, qui conclut, et ça c'est assez mal vu Jean Convient, à ouvrir une porte vers l'au dela.
Et ce milieu dérangeant de 8 clos avec sa salle en sous sol, endroit de tous les vices au nom de l'expérimentation anarchique.
une première partie du film où on se demande ou l'on va en venir, une autre qui déage tous ses secrets.
comme je l'ai dit, ça ne laisse pas indifférent, que ça soit du coté du ying ou du yang.