11-07-2007, 14:10
(Modification du message : 11-07-2007, 18:50 par JoséCarvalho.)
Quel difficile exercice,
Que de faire la cantatrice,
Pour jouir de votre compagnie,
Même si c'est pour la vie,
Venons en à mon histoire,
Qui se déroule un samedi soir,
Nous étions à Biot,
Mon orteil me faisait mal,
Suite aux nombreux pointus,
Que j'avais infligé à ma balle.
je rentrais piano-piano,
gêné par cette tuile,
un solex ou une moto,
m'aurais été utile.
mon orteil, semblable à une tomate,
rendait mon futur mate,
et je subissais les quolibets,
de ceus qui m'accompagnait...
j'entrais alors dans mon salon,
et voyais Chris Waddle, un homme,
jouer avec le ballon,
comme on mâche un bubble-gomme,
Sous l'émotion, j'en devenais begue,
celui-ci, par ses dribbles chaloupés,
Ses pieds décrivant des segues,
Se jouait des défenseurs étonnées,
.
Et depuis ce coup de rein,
L'Om est moi,
C'est le sous-marin,
Qui me procure ma joie.
Marseille entra alors dans mon cerveau,
tel d'un entonnoir, dans un goulot.
Que de faire la cantatrice,
Pour jouir de votre compagnie,
Même si c'est pour la vie,
Venons en à mon histoire,
Qui se déroule un samedi soir,
Nous étions à Biot,
Mon orteil me faisait mal,
Suite aux nombreux pointus,
Que j'avais infligé à ma balle.
je rentrais piano-piano,
gêné par cette tuile,
un solex ou une moto,
m'aurais été utile.
mon orteil, semblable à une tomate,
rendait mon futur mate,
et je subissais les quolibets,
de ceus qui m'accompagnait...
j'entrais alors dans mon salon,
et voyais Chris Waddle, un homme,
jouer avec le ballon,
comme on mâche un bubble-gomme,
Sous l'émotion, j'en devenais begue,
celui-ci, par ses dribbles chaloupés,
Ses pieds décrivant des segues,
Se jouait des défenseurs étonnées,
.
Et depuis ce coup de rein,
L'Om est moi,
C'est le sous-marin,
Qui me procure ma joie.
Marseille entra alors dans mon cerveau,
tel d'un entonnoir, dans un goulot.