05-03-2020, 14:50
Aissa Maiga, en plus d'avoir un texte mal écrit et mal "récité", son intervention était totalement hors sujet.
On n'est pas aux stazunis ou des acteurs blacks sont en tête d'affiche depuis au moins 30 ans et ne sont que très peu récompensés.
Pour Cassel, je me suis dis qu'elle faisait peut-être référence à son rôle dans la Haine ? Ma foi, no comment, c'était nul.
@juan : pour l'artiste et l'homme, je réponds Dieudo.
Pour en revenir à Polanski (extraits du dossier de presse de J'accuse) :
Donc, au final, qui entretient toute cette affaire et qui met de l'huile sur le feu ? Les réseaux sociaux ou Polanski lui même ?
On n'est pas aux stazunis ou des acteurs blacks sont en tête d'affiche depuis au moins 30 ans et ne sont que très peu récompensés.
Pour Cassel, je me suis dis qu'elle faisait peut-être référence à son rôle dans la Haine ? Ma foi, no comment, c'était nul.
@juan : pour l'artiste et l'homme, je réponds Dieudo.
Pour en revenir à Polanski (extraits du dossier de presse de J'accuse) :
Citation :Roman Polanski, pourquoi cette volonté de faire un film sur l’affaire Dreyfus, sur le tournant symbolique qu’elle a représenté dans l’histoire de France et de l’Europe ?
Les grands sujets font souvent des grands films, et l’affaire Dreyfus est un sujet exceptionnel. L’histoire d’un homme injustement accusé est toujours passionnante. Mais celle-ci est aussi terriblement actuelle, vu la recrudescence de l’antisémitisme.
Ce film a été comme une catharsis pour vous ?
Non, je ne travaille pas comme ça. Mon travail n’est pas une thérapie. En revanche, je dois dire que je connais bon nombre de mécanismes de persécution qui sont à l’œuvre dans ce film et que cela m’a évidemment inspiré.
Les persécutions à votre égard ont commencé avec Sharon Tate ?
La façon dont les gens me voient, mon « image », a effectivement commencé à se former avec la mort de Sharon Tate. Au moment de ce drame, alors que ce que j’avais à vivre était déjà atroce, la presse s’est emparée de cette tragédie, et ne sachant trop comment la traiter, elle l’a fait de manière abjecte, en insinuant entre autres que je faisais partie des instigateurs de son meurtre, sur fond de satanisme... Mon film ROSEMARY’S BABY constituait la preuve que j’entretenais des rapports avec le diable ! Cela a duré plusieurs mois, jusqu’à ce que la police ne retrouve finalement les vrais coupables, Charles Manson et sa « famille ». Tout cela me poursuit aujourd’hui encore. Tout, et n’importe quoi. C’est comme une boule de neige, chaque saison en ajoute une couche. Des histoires aberrantes de femmes que je n’ai jamais vues de ma vie et qui m’accusent de choses qui se seraient déroulées il y a plus d’un demi-siècle.
Donc, au final, qui entretient toute cette affaire et qui met de l'huile sur le feu ? Les réseaux sociaux ou Polanski lui même ?
L'art est un labyrinthe dont la prouesse est de trouver l'entrée.