11-11-2004, 13:44
Ils sortira peut être en zone 2 un de ces 4. Vu que l'année dernière ils ont sortis coups sur coup "Metropolis" et le coffret "Tigre du Bengale-Tombeau Hindou". On peut y croire.
J’ai pas été à l’avant première du « Prix du désir » vu qu’au dernier moment, ils préviennent qu’il n’y aura finalement personne, pas d’équipe du film, pas de Daniel Auteuil, vu que je n’y allais que pour ça, je me suis finalement rabattu sur « Les revenants », le premier film du réalisateur français Robin Campillo. Ici l’histoire ne repose pas sur un énième remake du retour des morts vivants, il s’agit seulement du retour en masse de tous les morts dans leurs familles. Le début du film commence par cette vision d’une longue file de morts, le regard hagard presque sans vie qui déambule sur les routes d’une petite ville campagnarde. Le film est plus axé sur le « Comment les recevoir ? les accueillir ? » Plutôt que sur le « Pourquoi ? ». Ce film possède une atmosphère pesante difficilement explicable, l’histoire est pas forcément ennuyeuse mais l’aspect de gestion emboîte trop vite le pas sur les raisons éventuelles de ce retour à la vie. Ambiance assez dérangeante au final et on est content que la fin se profile, sans doute que ce film ressasse des événements de nos propres vie que l’on aurait souhaité occulté. Belle performance de Géraldine Pailhas qui par sa sensibilité, nous touche.
J’ai pas été à l’avant première du « Prix du désir » vu qu’au dernier moment, ils préviennent qu’il n’y aura finalement personne, pas d’équipe du film, pas de Daniel Auteuil, vu que je n’y allais que pour ça, je me suis finalement rabattu sur « Les revenants », le premier film du réalisateur français Robin Campillo. Ici l’histoire ne repose pas sur un énième remake du retour des morts vivants, il s’agit seulement du retour en masse de tous les morts dans leurs familles. Le début du film commence par cette vision d’une longue file de morts, le regard hagard presque sans vie qui déambule sur les routes d’une petite ville campagnarde. Le film est plus axé sur le « Comment les recevoir ? les accueillir ? » Plutôt que sur le « Pourquoi ? ». Ce film possède une atmosphère pesante difficilement explicable, l’histoire est pas forcément ennuyeuse mais l’aspect de gestion emboîte trop vite le pas sur les raisons éventuelles de ce retour à la vie. Ambiance assez dérangeante au final et on est content que la fin se profile, sans doute que ce film ressasse des événements de nos propres vie que l’on aurait souhaité occulté. Belle performance de Géraldine Pailhas qui par sa sensibilité, nous touche.