opiOM.net
Préliminaires avant l'introduction - Version imprimable

+- opiOM.net (https://www.opiom.net/forums)
+-- Forum : Le Vestiaire (https://www.opiom.net/forums/forum-34.html)
+--- Forum : Attention, l'opiOM nuit gravement à la santé mentale (https://www.opiom.net/forums/forum-56.html)
+--- Sujet : Préliminaires avant l'introduction (/thread-7134.html)



Préliminaires avant l'introduction - cetace - 01-01-2008

A vos résolutions !
Janvier, c'est le mois des voeux...

Merci d'exaucer nos souhaits...Beer


Préliminaires avant l'introduction - Erby Kezako - 02-01-2008

[Image: janvier08.jpg]



Préliminaires avant l'introduction - imerle - 02-01-2008

ClapClap:roll1:


Préliminaires avant l'introduction - cetace - 02-01-2008

Quand Erby fait le zouave, devant tant de talent, les nouveaux se tirent ailleurs...Doctor


Préliminaires avant l'introduction - polymorphe - 02-01-2008

Bon, d'accord, c'est nul, cela sonne le mirliton, mais j'emmerde les cons !
J'observe la bienséance...

Je me souviens
D'un début janvier
Où dansant Zouave
Quelqu'un fit un voeu
Rien de grave à ce pied de nez
Sauf que ce quelqu'un chantait
Aussi cave qu'un pied
Et comme un esclave
Se la jouait suave
Je me souviens
D'un Yougoslave
De chez Tito grave
Semblable à une épave
L'occident je bave
Et sans être un cave
Il ne chante que le paronyme :
J'aime mes voisines
Mais marre des betteraves !


Préliminaires avant l'introduction - antecris - 02-01-2008

cetace a écrit :Quand Erby fait le zouave, devant tant de talent, les nouveaux se tirent ailleurs...Doctor
…c'est inégalé !Artist


Préliminaires avant l'introduction - cetace - 03-01-2008

polymorphe a écrit :Bon, d'accord, c'est nul, cela sonne le mirliton, mais j'emmerde les cons !
J'observe la bienséance...

Je me souviens
D'un début janvier
Où dansant Zouave
Quelqu'un fit un voeu
Rien de grave à ce pied de nez
Sauf que ce quelqu'un chantait
Aussi cave qu'un pied
Et comme un esclave
Se la jouait suave
Je me souviens
D'un Yougoslave
De chez Tito grave
Semblable à une épave
L'occident je bave
Et sans être un cave
Il ne chante que le paronyme :
J'aime mes voisines
Mais marre des betteraves !
Récidiviste ? Laugh


Préliminaires avant l'introduction - Donibrasco - 29-01-2008

Amis d'Opiom bave car je le présente oui, Donibrasco brave esclave d'un OM aujourd'hui épave qui viens vous conter de sa voie suave le grave récit de ses débuts avec ce club de zouave. Les faits sont compliqués à vous narrer, en effet aucune fée ne vient m'aider à inventer les effets rocambolesques d'une histoire en tout point imaginé, mais qui suffiraient à combler le pervers appétit moqueur de quelques grossiers quinquagénaire marseillais... C'est pourquoi faute de betterave et d'imagination je souhaite nourrir la curiosité des lecteurs du forum en vous racontant dans un magistral hors-sujet mon souvenir le plus passioné partagé avec l'OM.
Nous sommes au mois d'Août 1998, ou 99 peu importe, tout ce que je sais c'est que j'aurais aimé commencé mon intro en m'inspirant des géniales inspirations des frères coen, ou dans une moindre mesure être persuadé à cette ligne que mes arrières ne contiendraient aucunes fautes d'orthographes, rien de tout ça, j'en suis toujours à mon mois d'Août 99 et je reste persuadé que mon histoire bien écrite ou pas n'intéressera de toute façon personne tout en étant écrite n'importe comment...
Bref, ce soir la comme depuis la saion 91, je me rendais au stade Vélodrome pour acceuillir l'Hôte de la journée : Le Montpellier Hérault. Je ne rapporterai pas l'histoire dans ses moindre détails et je m'en escuse, lecteur charmé par mon style littéraire, mais il est 18:12 et ca fait déja 10 punaise de minutes que je planche pour écrire un texte "original" et dans 30 minutes justement je vais à l'entrainement, ah oui parce que peu importe cette rencontre avec l'OM, qu'elle se soit faite dans une cave ou avec des supporters Yougoslave, le fait est que aujourd'hui encore je suis la sur ce forum marseillais, que je serai dans une demi-heure sur un stade de foot à tenter de réitérer en vain les exploits de petit vélo et ses frappes de loin, que je jouerai ce soir à l'entraineur ou à PES en prenant soin de construire la plus belle équipe pour mon OM virtuel, que j'irai travailler dimanche au vélodrome car depuis je suis devenu stadier pour faire même les déplacements sans débourser mon maigre budget étudiant... L'om c'est ca pour moi comme pour les millions de supporters qui au regard de leurs témoignages présent sur ce forum ou ailleur font de l'OM un club passionant pour encore de belles années...


Préliminaires avant l'introduction - cetace - 29-01-2008

Donibrasco a écrit :Amis d'Opiom bave car je le présente oui, Donibrasco brave esclave d'un OM aujourd'hui épave qui viens vous conter de sa voie suave le grave récit de ses débuts avec ce club de zouave. Les faits sont compliqués à vous narrer, en effet aucune fée ne vient m'aider à inventer les effets rocambolesques d'une histoire en tout point imaginé, mais qui suffiraient à combler le pervers appétit moqueur de quelques grossiers quinquagénaire marseillais... C'est pourquoi faute de betterave et d'imagination je souhaite nourrir la curiosité des lecteurs du forum en vous racontant dans un magistral hors-sujet mon souvenir le plus passioné partagé avec l'OM.
Nous sommes au mois d'Août 1998, ou 99 peu importe, tout ce que je sais c'est que j'aurais aimé commencé mon intro en m'inspirant des géniales inspirations des frères coen, ou dans une moindre mesure être persuadé à cette ligne que mes arrières ne contiendraient aucunes fautes d'orthographes, rien de tout ça, j'en suis toujours à mon mois d'Août 99 et je reste persuadé que mon histoire bien écrite ou pas n'intéressera de toute façon personne tout en étant écrite n'importe comment...
Bref, ce soir la comme depuis la saion 91, je me rendais au stade Vélodrome pour acceuillir l'Hôte de la journée : Le Montpellier Hérault. Je ne rapporterai pas l'histoire dans ses moindre détails et je m'en escuse, lecteur charmé par mon style littéraire, mais il est 18:12 et ca fait déja 10 punaise de minutes que je planche pour écrire un texte "original" et dans 30 minutes justement je vais à l'entrainement, ah oui parce que peu importe cette rencontre avec l'OM, qu'elle se soit faite dans une cave ou avec des supporters Yougoslave, le fait est que aujourd'hui encore je suis la sur ce forum marseillais, que je serai dans une demi-heure sur un stade de foot à tenter de réitérer en vain les exploits de petit vélo et ses frappes de loin, que je jouerai ce soir à l'entraineur ou à PES en prenant soin de construire la plus belle équipe pour mon OM virtuel, que j'irai travailler dimanche au vélodrome car depuis je suis devenu stadier pour faire même les déplacements sans débourser mon maigre budget étudiant... L'om c'est ca pour moi comme pour les millions de supporters qui au regard de leurs témoignages présent sur ce forum ou ailleur font de l'OM un club passionant pour encore de belles années...

Donibrasco :lpouletda

C'était un 22 août
Un sacré match de foot
Un Baka qu'on redoute
Qui nous empapaoute...

Des supporters knock-out
Face à cette déroute
En panne de mazout
A sens unique la joute...

Perfusion, goutte-à-goutte
Nombreux prennent la route
Goûtant peu ce raout
Ils s'échappent en plein doute...

Duga en avant toute
Plus de chèvres qui broutent
On lâche les écoutes
La nuit nous maraboute...

On redevient mammouth
Merveilleux coming-out
On essore, on égoute
C'est doux comme du vermouth...

Doni, en jeune scout
Ce souvenir t'envoûte
Depuis tu le chouchoutes
Comme une clé de voûte...

Donibrasco, à la longue liste des opiomanes, on t'ajoute !:40tf:


Préliminaires avant l'introduction - Donibrasco - 29-01-2008

Applause:echarpe-omerci!!!


Préliminaires avant l'introduction - cetace - 01-02-2008

FEVRIER :
Un coup de neuf et votre conte sera bon ! :punk1:


Préliminaires avant l'introduction - J.R. - 01-02-2008

La moindre des choses pour un retour après si longtemps est de remettre à jour un tatoo défraichi.


Après un rite initiatique dont il ne me reste que l'ETROIT souvenir d'un billet de match OM-Lens en coupe de France 1986-1987, je ne me suis réellement ouvert à l'OM qu'un soir d'avril 1988. Quel ironie que ce soit un souvenir aussi douloureux, de la tête au bas du bas du COCCYX qui soit le premier en ma mémoire concernant ce club que je chéris aujourd'hui. Ce club qui à ce moment là présentait déjà tous les INDICEs de cette équipe "qui craint DEGUN" alors en pleine génèse.
Ce soir là donc, un HIDEUX 6 avril, j'allais regarder mon club désormais chéri, double finaliste de la coupe de France sortant, aller chercher sa première finale européenne et damer le pion à tous les nostalgiques de Reims et de Sainté.
Witschge me ramena rapidement à la raison, inscrivant un doublé en première mi-temps qui me fendit le coeur en QUATRE. Ce joueur, admirable par ailleurs, qu'est Bergkamp se chargea de m'achever lorsqu'un ESSAIM de ses partenaires virent le féliciter pour son but en fin de match. Nous venions de perdre 3-0 à la maison à l'aller de notre première demi-finale européenne, l'humiliation. J'étais pour la première (mais pas la dernière) fois meurtri par un résultat olympien et, du haut de mes dix ans, ressentit une aussi profonde qu'éphémère haine envers ces maudits bataves. Je me sentis vengé au retour lorsque Allofs arracha une victoire sur le terrain amstellodamois d'un coup franc que je me remémore comme stratosphérique mais que je n'ai jamais pu à mon grand dam revoir en image. L'honneur était sauf, et du haut de mes dix ans, je commençais à me sentir fier d'être "marseillais". J'allais commencer à manger beaucoup de pain blanc. Le pain noir vint plus tard et j'ai l'impression qu'il est toujours là aujourd'hui (je garde un souvenir très douloureux de toutes ces finales perdues, en particulier celle de l'année dernière où j'étais au stade après avoir traversé le pays en solo pour l'occasion).

Désormais, voir 1988 je ne peux le supporter que sur une bouteille de CHATEAUNEUF. Et le comble de l'histoire est qu'au début des années 90 je me suis piqué d'un certain intérêt pour l'Ajax qui m'a de surcroit permis, tel un JESUITE, en plein jeûne de supporter l'anonymat dans lequel venait de tomber mon club chéri. Un OM déchu, racheté pour quelques menues PIECETTES par un milliardaire qui ne portait alors pas de tongs. Lors de la traversée du désert de mon OM, mon ajax allait entretenir ma passion du foot, avec comme point d'orgue la champion's league de 1995 dont je garde comme souvenirs un but canon de Finidi George face au Bayern en demie retour et le maillot rouge et blanc acheté dans la boutique officielle du club quelques jours plus tôt. J'aurais adoré voir ce 5-2 dans le stade... mais c'est une autre histoire.



Préliminaires avant l'introduction - cetace - 02-02-2008

J.R. a écrit :La moindre des choses pour un retour après si longtemps est de remettre à jour un tatoo défraichi.


Après un rite initiatique dont il ne me reste que l'ETROIT souvenir d'un billet de match OM-Lens en coupe de France 1986-1987, je ne me suis réellement ouvert à l'OM qu'un soir d'avril 1988. Quel ironie que ce soit un souvenir aussi douloureux, de la tête au bas du bas du COCCYX qui soit le premier en ma mémoire concernant ce club que je chéris aujourd'hui. Ce club qui à ce moment là présentait déjà tous les INDICEs de cette équipe "qui craint DEGUN" alors en pleine génèse.
Ce soir là donc, un HIDEUX 6 avril, j'allais regarder mon club désormais chéri, double finaliste de la coupe de France sortant, aller chercher sa première finale européenne et damer le pion à tous les nostalgiques de Reims et de Sainté.
Witschge me ramena rapidement à la raison, inscrivant un doublé en première mi-temps qui me fendit le coeur en QUATRE. Ce joueur, admirable par ailleurs, qu'est Bergkamp se chargea de m'achever lorsqu'un ESSAIM de ses partenaires virent le féliciter pour son but en fin de match. Nous venions de perdre 3-0 à la maison à l'aller de notre première demi-finale européenne, l'humiliation. J'étais pour la première (mais pas la dernière) fois meurtri par un résultat olympien et, du haut de mes dix ans, ressentit une aussi profonde qu'éphémère haine envers ces maudits bataves. Je me sentis vengé au retour lorsque Allofs arracha une victoire sur le terrain amstellodamois d'un coup franc que je me remémore comme stratosphérique mais que je n'ai jamais pu à mon grand dam revoir en image. L'honneur était sauf, et du haut de mes dix ans, je commençais à me sentir fier d'être "marseillais". J'allais commencer à manger beaucoup de pain blanc. Le pain noir vint plus tard et j'ai l'impression qu'il est toujours là aujourd'hui (je garde un souvenir très douloureux de toutes ces finales perdues, en particulier celle de l'année dernière où j'étais au stade après avoir traversé le pays en solo pour l'occasion).

Désormais, voir 1988 je ne peux le supporter que sur une bouteille de CHATEAUNEUF. Et le comble de l'histoire est qu'au début des années 90 je me suis piqué d'un certain intérêt pour l'Ajax qui m'a de surcroit permis, tel un JESUITE, en plein jeûne de supporter l'anonymat dans lequel venait de tomber mon club chéri. Un OM déchu, racheté pour quelques menues PIECETTES par un milliardaire qui ne portait alors pas de tongs. Lors de la traversée du désert de mon OM, mon ajax allait entretenir ma passion du foot, avec comme point d'orgue la champion's league de 1995 dont je garde comme souvenirs un but canon de Finidi George face au Bayern en demie retour et le maillot rouge et blanc acheté dans la boutique officielle du club quelques jours plus tôt. J'aurais adoré voir ce 5-2 dans le stade... mais c'est une autre histoire.

J.R Applause

Se faire lessiver
Par un grand coup d'Ajax
A dix ans l'archiver
Tout en restant relax...

Au lieu d'invectiver
Comme un nommé furax
Tu as positivé
En bombant ton thorax...

Et puis t'as salivé
Te régalant un max
Toujours à l'arrivée
Ca te rendait relax...

Depuis on est privé
On a dévié de l'axe
Un produit dérivé
Comme unique syntaxe...

L'OM a l'HIV
Et même une cure à Dax
Ne pourra arriver
A supprimer l'anthrax...


J.R ton arrivée
Nous fait plaisir un max...Bye1


Préliminaires avant l'introduction - J.R. - 02-02-2008

Cheers:incline:


Préliminaires avant l'introduction - Erby Kezako - 02-02-2008

[Image: fevrier08.jpg]



Préliminaires avant l'introduction - mimini - 02-02-2008

Clap:echarpe-o:echarpe-oClap


Préliminaires avant l'introduction - cetace - 02-02-2008

Et dans l'ordre qui plus est, avec un zéro en bonus...
Clap


Préliminaires avant l'introduction - Erby Kezako - 02-02-2008

Je réalise que le gag ultime aurait été de mettre : "11 calendriers"... Suite logique !....


Préliminaires avant l'introduction - benou - 12-02-2008

Salut à tous.
Petit nouveau sur le forum mais opioMan depuis longtemps je franchis le cap et m'inscrit afin de participer aux joutes verbales sur l'OM et le foot en général.
Incontestablement votre site est le meilleur existant sur l'OM et l'apport de GP n'y es pas pour rien.:incline:

CHATEAUNEUF et INDICE....

Né à Marseille, je suis tombé dans la marmite du Vel' tout petit (comme le gros) et depuis les effets sont permanents chez moi. Pas un jour sans que je suive l'actualité de mon club.
Première visite au Vel' (qui a bien changé depuis), je devais avoir 10 ans, on jouait Strasbourg en D2. C'était l'epoque des minots, on était parti pour une longue histoire d'amour. De nombreuses visites suivront et suivent encore même si la distance qui me sépare aujourd'hui de ma ville rend les choses compliquées parfoit.

Voici un petit poëme en guise de cadeau (je ne sais pas si c'est vraiment un cadeau mais bon) :

Marseillais, on craint DEGUN,
Ni l'HIDEUX PSG club de moins que rien,
Ni Lyon club au président ETROIT dans sa tête,
Ni tout autre club qui ne mérite que des miettes.

Les QUATRES tribunes du Vel' chantent,
Elles resonnent comme un ESSAIM,
Les supporters tapent dans leurs mains,
On met notre OM sur la bonne pente.

On ne risque pas d'avoir mal au COCCYX,
On reste debout jusqu'au bout,
On encourage, nos voix s'unissent,
Nos adversaires? Mais ils sont où?

Une PIECETTE pour le JESUITE,
Il a prié la bonne mére,
Nos adversaires sont en fuite,
L'Om gagne et pour les autres c'est l'enfer.

Un verre de CHATEAUNEUF pour fêter ça,
Ne pas oublier d'aller toujours plus haut, jamais plus bas,
On doit soigner notre INDICE UEFA,
Et regner sur l'EUROPE, encore une fois.


Préliminaires avant l'introduction - cetace - 12-02-2008

benou a écrit :Salut à tous.
Petit nouveau sur le forum mais opioMan depuis longtemps je franchis le cap et m'inscrit afin de participer aux joutes verbales sur l'OM et le foot en général.
Incontestablement votre site est le meilleur existant sur l'OM et l'apport de GP n'y es pas pour rien.:incline:

CHATEAUNEUF et INDICE....

Né à Marseille, je suis tombé dans la marmite du Vel' tout petit (comme le gros) et depuis les effets sont permanents chez moi. Pas un jour sans que je suive l'actualité de mon club.
Première visite au Vel' (qui a bien changé depuis), je devais avoir 10 ans, on jouait Strasbourg en D2. C'était l'epoque des minots, on était parti pour une longue histoire d'amour. De nombreuses visites suivront et suivent encore même si la distance qui me sépare aujourd'hui de ma ville rend les choses compliquées parfoit.

Voici un petit poëme en guise de cadeau (je ne sais pas si c'est vraiment un cadeau mais bon) :

Marseillais, on craint DEGUN,
Ni l'HIDEUX PSG club de moins que rien,
Ni Lyon club au président ETROIT dans sa tête,
Ni tout autre club qui ne mérite que des miettes.

Les QUATRES tribunes du Vel' chantent,
Elles resonnent comme un ESSAIM,
Les supporters tapent dans leurs mains,
On met notre OM sur la bonne pente.

On ne risque pas d'avoir mal au COCCYX,
On reste debout jusqu'au bout,
On encourage, nos voix s'unissent,
Nos adversaires? Mais ils sont où?

Une PIECETTE pour le JESUITE,
Il a prié la bonne mére,
Nos adversaires sont en fuite,
L'Om gagne et pour les autres c'est l'enfer.

Un verre de CHATEAUNEUF pour fêter ça,
Ne pas oublier d'aller toujours plus haut, jamais plus bas,
On doit soigner notre INDICE UEFA,
Et regner sur l'EUROPE, encore une fois.

benou Clap

Il faut toujours avoir, Benou un vers à soi
Pour pouvoir fabriquer, peinard un beau cocon
Ca permet de briller, ailleurs comme chez soi
Comme Cyrano souffleur, au pied de son balcon.

On prend souvent son pied, en comptant sur ses doigts
Pour voir si l'e muet, facilite l'élision
Quelquefois on se plante et alors on merdoie
Faut bien laisser couver et attendre l'éclosion.

Mélangeons donc nos vers, ami Benou trinquons
Pour connaitre l'ivresse, qu'importe le flacon !
Cheers