paddy a écrit :J'oubliais : non merci à ceux qui nous cassent les burnes à tout bout de champs avec leurs arguments socio-sportivo-politico-grossomerdo.

On a compris ici qui était de droite, qui était de gauche et on s'en cague comme de notre premier kinder surprise

paddy a écrit :J'oubliais : non merci à ceux qui nous cassent les burnes à tout bout de champs avec leurs arguments socio-sportivo-politico-grossomerdo.

On a compris ici qui était de droite, qui était de gauche et on s'en cague comme de notre premier kinder surprise

Nil Sanyas a écrit :Nan, à chaque fois, je les avais loupé à la TV... :blondblush1:

(hein que tu vas te moquer encore)

RAI96 a écrit :On a retrouvé hibernatus, il s'appelle Nil et en 2006 il trippe sur la fin de seven... truc de ouf !

paddy a écrit :J'hésitais à m'envoyer l'opus premier de saw, craignant l'américanisation du scénario. Je vais me laisser tenter du coup
En parlant de daube américaine en boîte, je viens de finir en accéléré le projet blair wich 2 qui sent le renfermé au niveau du scénario :hum:

Du coup, je suis parti sur Kids dans la foulée. Je fais une pause, niveau violence psychologique, j'ai eu ma dose hier avec l'Expérience :vod:
Peut-être à tout à l'heure sinon rien

LadyKillers a écrit :Saraband :incline::incline::incline:



Première confrontation (certainement trop tardive) à une oeuvre de Bergman, et quel choc !
Une organisation quasi théatrale (unité de temps et de lieu), une simplicité presque académique dans le découpage du film en 10 chapîtres.
Un amour débordant, une haine violente, le tout dans chaque personnage.

Pourrait s'intituler, tel une oeuvre d'un philosophe du XVIIème siècle : "De l'importance des sentiments".

Et pour ne rien gâcher, une musique parfaite (pour ceux qui aiment Bach), et la surprise d'entendre la vo en suédois.